por Lehbib Brahim Labid
El Sr. Ban Ki-Moon, nació el 13 de junio de 1944. Es ciudadano de la República de Corea. Habla además de coreano, inglés y francés.
El Sr. Ban obtuvo el título de bachiller en Relaciones Internacionales en la Universidad Nacional de Seúl en 1970. En 1985 obtuvo una maestría en administración pública en la Kennedy School of Government, de la Universidad de Harvard. En julio de 2008, el Sr. Ban fue investido doctor Honoris Causa por la Universidad Nacional de Seúl.
El Sr. Ban también se ha ocupado activamente de cuestiones relativas a las relaciones entre las dos Coreas. En 1992, como Asesor Especial del Ministerio de Relaciones Exteriores.
Vicepresidente de la Comisión Conjunta Sur-Norte para el Control de las Armas Nucleares, tras la aprobación de la histórica Declaración Conjunta sobre la desnuclearización de la península de Corea. En septiembre de 2005, en su calidad de Ministro de Relaciones Exteriores, desempeñó un papel destacado en la concertación de otro acuerdo histórico encaminado a promover la paz y la estabilidad en la península de Corea, al aprobarse en las conversaciones de las seis partes la Declaración Conjunta sobre la solución de la cuestión nuclear en Corea del Norte.
El Sr. Ban ocupaba el cargo de Ministro de Relaciones Exteriores y Comercio de la República de Corea. Durante sus largos años de servicio en el Ministerio tuvo destinos en Nueva Delhi, Washington y Viena y se encargó de diversas carteras: asesor del Presidente en cuestiones de política exterior; asesor Principal del Presidente en cuestiones de seguridad nacional; Viceministro de Planificación de Políticas y Director General de Asuntos Americanos. A lo largo de su carrera ha luchado para que haya paz en la península de Corea, para juegue un papel cada vez más importante en pro de la paz y la prosperidad en la región y en el mundo.
El uno de enero de 2007, el Sr. Ban Ki-moon, se convirtió en el octavo Secretario General de las Naciones Unidas, avalado por 37 años de experiencia al servicio de su Gobierno de su país y en la escena mundial.
El Sr. Ban ha mantenido vínculos con las Naciones Unidas desde 1975, año en que trabajó en la División de las Naciones Unidas del Ministerio de Relaciones Exteriores de su país. Desempeñó los cargos de Primer Secretario de la Misión Permanente de la República de Corea ante las Naciones Unidas en Nueva York; Director de la División de las Naciones Unidas en la sede del Ministerio en Seúl y de Embajador en Viena. En 1999, ocupó el cargo de Presidente de la Comisión Preparatoria de la Organización del Tratado de Prohibición Completa de los Ensayos Nucleares. En 2001-2002, como Jefe de Gabinete del Presidente de la Asamblea General en el período de sesiones que la República de Corea. Ocupó la Presidencia de la Asamblea, donde facilitó la rápida aprobación de la primera resolución de ese período de sesiones, por la cual se condenaron los ataques terroristas del 11 de septiembre, y tomó varias iniciativas tendientes a fortalecer el funcionamiento de la Asamblea. De ese modo contribuyó a que en un período de sesiones que había comenzado en medio de un ambiente de crisis y confusión, se aprobaran importantes reformas.
Premios y distinciones
El Sr. Ban ha recibido numerosos premios, medallas y distinciones nacionales e internacionales. En 1975, 1986 y nuevamente en 2006, recibió la Orden del Mérito, la máxima distinción de la República de Corea, por los servicios prestados a su país. En abril de 2008, le concedieron la “Grand-Croix de L’Ordre National” (Gran Cruz Orden Nacional) de Burkina Faso y en el mismo mes fue investido “Grand Officier de L'Ordre National” (Magnífico Oficial de la orden nacional) del gobierno de Côte d’Ivoire.
Este es BAN KI-MOON, EL HOMBRE QUE QUISO DECIR LA VERDAD, EL HOMBRE QUE NO SE DOBLEGÓ ANTE MARRUECOS, NI ANTE EL CONSEJO DE SEGURIDAD DE LA ONU. INSISTE: “ES UNA OCUPACIÓN” NO POR QUE EL LO DICE. TAMBIÉN LO DICEN LAS RESOLUCIONES DE LA ONU, QUE EL DEFIENDE, NO COMO FRANCIA Y ESPAÑA QUE ALIMENTAN EL CONFLICTO DESE SUS INICIOS, SIN ESCRÚPULOS, SIN ÉTICA, SIN MORAL, SIN PRINCIPIOS, ARRASTRÁNDOSE SOBRE SUS PANAZAS, SIN...
Veamos ¿Quién es Mohamed VI? Para empezar, el sueldo de Mohamed VI duplica al del presidente de EE UU, pese a que el país ocupa el puesto 126º del desarrollo humano. La monarquía marroquí cuesta al presupuesto del Estado 60 veces más que el Elíseo, la presidencia de la República Francesa
Leer el libro titulado: “El Rey depredador”
Lehbib Brahim Labid
ledidi56(at)yahoo.es
A 22 de marzo de 2016.
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Este texto expresa la opinion del autor y no de los moderadores del foro.
22.3.16
18.3.16
LE MAROC EST UNE PUISSANCE OCCUPANTE DU SAHARA OCCIDENTAL AU MÉPRIS DE LA LÉGALITÉ INTERNATIONALE
par Maître Takioullah Eidda
Lors de sa dernière visite au Sahara Occidental et aux camps de réfugiés sahraouis, le Secrétaire Général des Nations-Unies, M. Ban Ki-Moon, a qualifié le Maroc de pays «occupant» du Sahara Occidental et l’a invité à permettre au peuple sahraoui d’exercer son droit à l’autodétermination. Il n’en fallait pas plus pour que le Maroc le qualifie à son tour d’ennemi, dont la position est contraire à son devoir de neutralité.
Pour y voir clair, parcourons les textes des résolutions de l’ONU, adoptées depuis 1960, ainsi que l’avis de la Cour Internationale de Justice (CIJ) de 1975.
«Quelles qu'aient pu être les divergences d'opinions entre les juristes, il ressort de la pratique étatique de la période considérée que les territoires habités pas des tribus ou des peuples ayant une organisation sociale et politique n'étaient pas considérés comme terra nullius.»
(Réponse à la question 2)
«La Cour conclut que les éléments et renseignements portés à sa connaissance n'établissent l‘existence d'aucun lien de souveraineté́ territoriale entre le territoire du Sahara occidental d'une part, le Royaume du Maroc ou l'ensemble mauritanien d'autre part. La Cour n'a donc pas constaté l'existence de liens juridiques de nature à modifier l'application de la résolution 1514 (XV) quant à la décolonisation du Sahara occidental et en particulier l'application du principe d'autodétermination grâce à l'expression libre et authentique de la volonté́ des populations du territoire.»
Article 2. Approuve le rapport du Secrétaire générale remis au Conseil conformément à la résolution 621 (1988) en vue de régler la question du Sahara Occidental, qui contient le texte intégrale des propositions de règlement telles qu’elles ont été acceptées par les deux parties le 30 août 1988 ainsi qu’un exposé du plan du Secrétaire général en vue de la mise en œuvre de ces propositions.»
Par conséquent, Ban Ki-Moon ne peut et ne doit rester neutre au mépris de la légalité internationale constatée, déclarée et demandée par sa propre organisation et confirmée par la Cour Internationale de Justice (CIJ).
Le Maroc est donc mal placé pour faire des reproches à Ban Ki-Moon à cet égard et les brouhahas dans la rue et devant les micros des médias ne changent rien à cette réalité, devenue si incontournable qu’aucun pays au monde, pas un seul, ne lui a reconnu la moindre souveraineté sur ce territoire.
Pire, le 10 décembre 2015, la Cour Européenne a conclu que les pays membres de l’UE ne peuvent conclurent des accords avec le Maroc relatifs à des biens produits au Sahara Occidental, compte tenu de son occupation illégale de ce territoire.
Maître Takioullah Eidda, avocat Montréal, Canada
18.03.16
quebec171[at]gmail.com
-------------- Ce texte exprime l'opinion de l'auteur et n'engage pas les modérateurs du forum.
Lors de sa dernière visite au Sahara Occidental et aux camps de réfugiés sahraouis, le Secrétaire Général des Nations-Unies, M. Ban Ki-Moon, a qualifié le Maroc de pays «occupant» du Sahara Occidental et l’a invité à permettre au peuple sahraoui d’exercer son droit à l’autodétermination. Il n’en fallait pas plus pour que le Maroc le qualifie à son tour d’ennemi, dont la position est contraire à son devoir de neutralité.
Pour y voir clair, parcourons les textes des résolutions de l’ONU, adoptées depuis 1960, ainsi que l’avis de la Cour Internationale de Justice (CIJ) de 1975.
A- RESOLUTION 1514 DU 14 DECEMBRE 1960 RELATIVE AU DROIT DES PEUPLES COLONISES DE DISPOSER D’EUX-MEMES:«Article 5. Des mesures immédiates seront prises, dans les territoires sous tutelle, les territoires non autonomes et tous autres territoires qui n'ont pas encore accédé à l'indépendance, pour transférer tous pouvoirs aux peuples de ces territoires, sans aucune condition ni réserve, conformément à leur volonté et à leurs vœux librement exprimés, sans aucune distinction de race, de croyance ou de couleur, afin de leur permettre de jouir d'une indépendance et d'une liberté complètes.»
B- RÉSOLUTION 3458 DE 1975, AFFIRMANT LE DROIT DU PEUPLE SAHRAOUI DE DÉCIDER DE SON AVENIR :«Article 5. Prend acte du rapport de la Mission de visite des Nations-Unies au Sahara Espagnol en 1975, et fait sienne sa conclusion selon laquelle des mesures devraient être prises pour permettre à tous les sahraouis originaires du territoire de décider de leur avenir en toute liberté et dans une atmosphère de paix et de sécurité, conformément à la résolution 1514 (XV).»
C- AVIS DE LA COUR INTERNATIONALE DE JUSTICE RENDU LE 16 OCTOBRE 1975 NIANT AU MAROC TOUT DROIT SUR LE SAHARA OCCIDENTAL :«La Cour a été saisie des questions sur lesquelles un avis consultatif lui est demandé par une lettre du Secrétaire général de l'organisation des Nations Unies au Président de la Cour datée du 17 décembre 1974 et enregistrée au Greffe le 21 décembre 1974. Dans cette lettre, le Secrétaire général porte à la connaissance de la Cour que, par la résolution 3292 (XXIX) adoptée le 13 décembre 1974, l'Assemblée générale des Nations Unies a décidé de demander à la Cour de donner, à une date rapprochée, un avis consultatif sur les questions énoncées dans la résolution.
1. Le Sahara occidental (Rio de Oro et Sakiet El Hamra) était-il, au moment de la colonisation par l'Espagne, un territoire sans maître (terra nullius)?Si la réponse à la première question est négative,
2. Quels étaient les liens juridiques de ce territoire avec le Royaume du Maroc et l'ensemble mauritanien?(Réponse à la question 1)
«Quelles qu'aient pu être les divergences d'opinions entre les juristes, il ressort de la pratique étatique de la période considérée que les territoires habités pas des tribus ou des peuples ayant une organisation sociale et politique n'étaient pas considérés comme terra nullius.»
(Réponse à la question 2)
«La Cour conclut que les éléments et renseignements portés à sa connaissance n'établissent l‘existence d'aucun lien de souveraineté́ territoriale entre le territoire du Sahara occidental d'une part, le Royaume du Maroc ou l'ensemble mauritanien d'autre part. La Cour n'a donc pas constaté l'existence de liens juridiques de nature à modifier l'application de la résolution 1514 (XV) quant à la décolonisation du Sahara occidental et en particulier l'application du principe d'autodétermination grâce à l'expression libre et authentique de la volonté́ des populations du territoire.»
D- RÉSOLUTION 380 DE 1975 CONTRE LA «MARCHE VERTE» DU LE MAROC:«Article 2. Demande au Maroc de retirer immédiatement du territoire du Sahara Occidental tous les participants à la marche.»
E- RÉSOLUTION 37/34 DE 1979, CONDAMNANT «L’OCCUPATION» DU SAHARA OCCIDENTAL PAR LE MAROC :«Article 5. Déplore vivement l’aggravation de la situation découlant de l’OCCUPATION du Sahara Occidental par le Maroc et l’extension de cette OCCUPATION au territoire récemment évacué par la Mauritanie.»
F- RÉSOLUTION 43/33 DE 1988, ENTÉRINANT L’ACCORD INTERVENU ENTRE LE MAROC ET LE F.POLISARIO POUR L’ORGANISATION D’UN RÉFÉRENDUM D’AUTODÉTERMINATION:«Article 6. Se félicite également de l’accord donné le 30 août 1988 par le Royaume du Maroc et le Frente Popular para la liberacion de Sagua El-Hamra y Rio de Oro aux propositions conjointes du Président en exercice de la Conférence des chefs d’État et de gouvernement de l’Organisation de l’unité africaine et du Secrétaire général des l’Organisation des Nations-Unies en vue de la tenue d’un référendum d’autodétermination du peuple du Sahara Occidental, organisé et contrôlé par l’Organisation des Nations-Unies en coopération avec l’Organisation de l’unité africaine.»
G- RÉSOLUTION 658 DE 1990, AUTORISANT LA DÉSIGNATION D’UN ENVOYÉ SPÉCIAL POUR LE SAHARA OCCIDENTAL :«Rappelant sa résolution 621 (1988) du 30 septembre 1988 par laquelle il a décidé d’autoriser le Secrétaire général à nommer un représentant spécial pour le Sahara Occidental et de demander au Secrétaire général de lui remettre dans les meilleurs délais possibles un rapport sur la tenue d’un référendum d’autodétermination du peuple du Sahara Occidental et sur les moyens à mettre en œuvre en vue d’assurer l’Organisation et le contrôle de ce référendum par l’Organisation des Nations-Unies en coopération avec l’Organisation de l’unité africaine. (…)
Article 2. Approuve le rapport du Secrétaire générale remis au Conseil conformément à la résolution 621 (1988) en vue de régler la question du Sahara Occidental, qui contient le texte intégrale des propositions de règlement telles qu’elles ont été acceptées par les deux parties le 30 août 1988 ainsi qu’un exposé du plan du Secrétaire général en vue de la mise en œuvre de ces propositions.»
H- RÉSOLUTION 690 DE 1991, DÉCIDANT LA MISE EN PLACE DU MINURSO :«Article 3. Décide d’établir son autorité une mission des Nations-Unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara Occidental conformément au rapport du 19 avril 1991.»
I- L’AVIS JURIDIQUE DU CONSEILLER JURIDIQUE DE L’ONU, HANS CORELL, S\2002\161 DU 12 FÉVRIER 2002, CONCLUANT À L’ILLÉGALITÉ DE L’EXPLOITATION PAR LE MAROC DES RESSOURCES NATURELLES DU SAHARA OCCIDENTAL:«Il faut donc conclure que (…) si des activités de prospection et d’exploitation devaient être entreprises au mépris des intérêts et de la volonté́ du peuple du Sahara occidental, elles contreviendraient aux principes de droit international applicables aux activités touchant aux ressources minérales des territoires non autonomes.»
J- CONCLUSION :Ban Ki-Moon est le Secrétaire général des Nations-Unies, dont les résolutions, comme on vient de les voir, ont qualifié le Maroc de pays «occupant» du Sahara Occidental. Elles ont affirmé aussi, à maintes reprises, le droit du peuple du Sahara Occidental à l’autodétermination suivant la tenue d’un référendum libre et transparent.
Par conséquent, Ban Ki-Moon ne peut et ne doit rester neutre au mépris de la légalité internationale constatée, déclarée et demandée par sa propre organisation et confirmée par la Cour Internationale de Justice (CIJ).
Le Maroc est donc mal placé pour faire des reproches à Ban Ki-Moon à cet égard et les brouhahas dans la rue et devant les micros des médias ne changent rien à cette réalité, devenue si incontournable qu’aucun pays au monde, pas un seul, ne lui a reconnu la moindre souveraineté sur ce territoire.
Pire, le 10 décembre 2015, la Cour Européenne a conclu que les pays membres de l’UE ne peuvent conclurent des accords avec le Maroc relatifs à des biens produits au Sahara Occidental, compte tenu de son occupation illégale de ce territoire.
Maître Takioullah Eidda, avocat Montréal, Canada
18.03.16
quebec171[at]gmail.com
-------------- Ce texte exprime l'opinion de l'auteur et n'engage pas les modérateurs du forum.
LE MAROC EST UNE PUISSANCE OCCUPANTE DU SAHARA OCCIDENTAL AU MÉPRIS DE LA LÉGALITÉ INTERNATIONALE
EL SÁHARA, UNA OCUPACIÓN, EN PROCESO DE DESCOLONIZACIÓN
por Lehbib Brahim Labid
En mayo 2012, Marruecos retiró su confianza a Christopher Ross, enviado de la ONU, para el Sahara Occidental, por la razón que -según Marruecos- las nueve rondas de negociaciones anteriores en Mahanset (periferia de Washington) no han dado su fruto.
En estas rondas, Marruecos se refugiaba, fingiendo, tener una voluntad política, en aras de hallar una solución al conflicto. Mientras, la realidad era otra: demostrar a sus aliados y amigos (no a lo ONU y los saharuis, que saben la verdad), que está negociando con el POLISARIO, bajo los auspicios de la ONU.
Todas las rondas han culminado con la frustración, por los obstáculos creados por el ocupante. A Marruecos le hubiera gustado que se siguieren celebrando hasta el fin del mundo, porque para él eran un deshago.
Christopher Ross, entendió la jugada de Marruecos y decidió que, mientras no lleguen a un acuerdo, no se van a celebrar más encuentros y que se limitará a visitar las partes en conflicto y a los países observadores en sus respectivos lugares. Hecho que destapó los malos designios de Marruecos.
La ONU, a través de algunos miembros del consejo de seguridad, encabezados por Francia, que veta cualquier resolución favorable a la autodeterminación del pueblo saharaui, crearon para Marruecos, en los últimos 25 años, las condiciones propicias para perpetuar su ocupación al Sahara, Y el consejo de seguridad es lo que es: si uno de los miembros permanentes veta una resolución, esta se convierte en papel mojado.
Ante la intransigencia de Marruecos, Ban Ki Moon, programó para el mes de marzo una gira en la zona. Argelia, el POLISARIO y Mauritania, dieron su bienvenida, mientras que Marruecos ha rechazado la visita, aplazándola para el mes de julio, tres meses después de que el Consejo de Seguridad haya emitido su resolución y así alargar la vida de este, ya, longevo conflicto. La altanería y arrogancia de Marruecos le conducen al desacierto, hasta el límite de fijarle a la ONU, cuándo su secretario general ha de visitar a ese país o a los territorios saharauis ocupados.
La visita tenía como objetivo capital, impulsar las negociaciones entre el F.Polisario y Marruecos, bloqueadas por éste último, no desde ahora, sino, siempre. También, en caso de no haber avances, reflejarlo en su próximo informe, que presentará al Consejo de Seguridad, en el mes de abril. Su visita a España, Mauritania, Argelia, Campamentos de Refugiados Saharauis y, en especial, a Bir Lahlu, en las zonas liberadas de la RASD, supuso, para Marruecos, la gota que colmó el vaso.
Puede tratarse de una confabulación, dada la astucia y malicia del gobierno y asesores del monarca que están buscando, sin tregua, pretextos para evitar una futura visita de Ban Ki Moon y cualquier contacto con la MINURSO de la que, ya, no están sacando ningún provecho. Esta misión de Naciones Unidas, para el ocupante ya está fuera de juego. Nunca ha tenido la intención de celebrar el referéndum. De otra parte, su propuesta de autonomía murió antes de nacer.
Marruecos, cada vez que se encuentra en apuros, se lanza contra Argelia, calificándola como parte principal en el conflicto; contra el POLISARIO; contra la UA, de la que no es miembro; contra la UE y por último, lo que le faltaba, contra la ONU, difamándola, atacando a la figura de su secretario general, tildándolo de pro-saharaui y que está atentando contra “la integridad territorial de Marruecos” y contra “las aspiraciones del pueblo marroquí”. Términos no reconocidos por la ONU, en ninguna de sus resoluciones. Sin embargo, sí, se reconoce el legítimo derecho del pueblo saharaui a la autodeterminación. Pero ¿Qué será Marruecos sin el Sahara?
Estimados lectores, Marruecos es una fuerza de “ocupación”, lo diga quien lo diga, lo niegue quien lo niegue. Y la persona más idónea para decirlo es Ban Ki Moon, secretario general de una organización que ha de velar para que la estabilidad, la paz y la justicia reinen en todo el planeta. Ban Ki Moon, emocionado por lo que vio, en los Campamentos de Refugiados Saharauis, dijo la verdad: 40 años sin sentido, en medio de un desierto inhóspito, en el olvido por parte de la comunidad internacional.
La presencia de Marruecos en el Sahara, es una ocupación, sin lugar a dudas. Acaso ¿El Sahara Occidental, no es una cuestión de descolonización iniciada por España e inconclusa? ¿No es un territorio no autónomo, clasificado, así, por la ONU? Y sino ¿Qué país en el mundo reconoce la soberanía de Marruecos sobre el territorio ocupado? Que me citen, por favor, uno, solamente, uno… Lo ruego.
"Fuerza, determinación y voluntad para imponer la independencia y la soberanía”
Lehbib Brahim Labid
18.03.16
ledidi56(at)yahoo.es
En mayo 2012, Marruecos retiró su confianza a Christopher Ross, enviado de la ONU, para el Sahara Occidental, por la razón que -según Marruecos- las nueve rondas de negociaciones anteriores en Mahanset (periferia de Washington) no han dado su fruto.
En estas rondas, Marruecos se refugiaba, fingiendo, tener una voluntad política, en aras de hallar una solución al conflicto. Mientras, la realidad era otra: demostrar a sus aliados y amigos (no a lo ONU y los saharuis, que saben la verdad), que está negociando con el POLISARIO, bajo los auspicios de la ONU.
Todas las rondas han culminado con la frustración, por los obstáculos creados por el ocupante. A Marruecos le hubiera gustado que se siguieren celebrando hasta el fin del mundo, porque para él eran un deshago.
Christopher Ross, entendió la jugada de Marruecos y decidió que, mientras no lleguen a un acuerdo, no se van a celebrar más encuentros y que se limitará a visitar las partes en conflicto y a los países observadores en sus respectivos lugares. Hecho que destapó los malos designios de Marruecos.
La ONU, a través de algunos miembros del consejo de seguridad, encabezados por Francia, que veta cualquier resolución favorable a la autodeterminación del pueblo saharaui, crearon para Marruecos, en los últimos 25 años, las condiciones propicias para perpetuar su ocupación al Sahara, Y el consejo de seguridad es lo que es: si uno de los miembros permanentes veta una resolución, esta se convierte en papel mojado.
Ante la intransigencia de Marruecos, Ban Ki Moon, programó para el mes de marzo una gira en la zona. Argelia, el POLISARIO y Mauritania, dieron su bienvenida, mientras que Marruecos ha rechazado la visita, aplazándola para el mes de julio, tres meses después de que el Consejo de Seguridad haya emitido su resolución y así alargar la vida de este, ya, longevo conflicto. La altanería y arrogancia de Marruecos le conducen al desacierto, hasta el límite de fijarle a la ONU, cuándo su secretario general ha de visitar a ese país o a los territorios saharauis ocupados.
La visita tenía como objetivo capital, impulsar las negociaciones entre el F.Polisario y Marruecos, bloqueadas por éste último, no desde ahora, sino, siempre. También, en caso de no haber avances, reflejarlo en su próximo informe, que presentará al Consejo de Seguridad, en el mes de abril. Su visita a España, Mauritania, Argelia, Campamentos de Refugiados Saharauis y, en especial, a Bir Lahlu, en las zonas liberadas de la RASD, supuso, para Marruecos, la gota que colmó el vaso.
Puede tratarse de una confabulación, dada la astucia y malicia del gobierno y asesores del monarca que están buscando, sin tregua, pretextos para evitar una futura visita de Ban Ki Moon y cualquier contacto con la MINURSO de la que, ya, no están sacando ningún provecho. Esta misión de Naciones Unidas, para el ocupante ya está fuera de juego. Nunca ha tenido la intención de celebrar el referéndum. De otra parte, su propuesta de autonomía murió antes de nacer.
Marruecos, cada vez que se encuentra en apuros, se lanza contra Argelia, calificándola como parte principal en el conflicto; contra el POLISARIO; contra la UA, de la que no es miembro; contra la UE y por último, lo que le faltaba, contra la ONU, difamándola, atacando a la figura de su secretario general, tildándolo de pro-saharaui y que está atentando contra “la integridad territorial de Marruecos” y contra “las aspiraciones del pueblo marroquí”. Términos no reconocidos por la ONU, en ninguna de sus resoluciones. Sin embargo, sí, se reconoce el legítimo derecho del pueblo saharaui a la autodeterminación. Pero ¿Qué será Marruecos sin el Sahara?
Estimados lectores, Marruecos es una fuerza de “ocupación”, lo diga quien lo diga, lo niegue quien lo niegue. Y la persona más idónea para decirlo es Ban Ki Moon, secretario general de una organización que ha de velar para que la estabilidad, la paz y la justicia reinen en todo el planeta. Ban Ki Moon, emocionado por lo que vio, en los Campamentos de Refugiados Saharauis, dijo la verdad: 40 años sin sentido, en medio de un desierto inhóspito, en el olvido por parte de la comunidad internacional.
La presencia de Marruecos en el Sahara, es una ocupación, sin lugar a dudas. Acaso ¿El Sahara Occidental, no es una cuestión de descolonización iniciada por España e inconclusa? ¿No es un territorio no autónomo, clasificado, así, por la ONU? Y sino ¿Qué país en el mundo reconoce la soberanía de Marruecos sobre el territorio ocupado? Que me citen, por favor, uno, solamente, uno… Lo ruego.
"Fuerza, determinación y voluntad para imponer la independencia y la soberanía”
Lehbib Brahim Labid
18.03.16
ledidi56(at)yahoo.es
EL SÁHARA, UNA OCUPACIÓN, EN PROCESO DE DESCOLONIZACIÓN
11.3.16
LE MAROC ET LE F.POLISARIO FRÉFÈRENT LE STATUQUO AU DÉTRIMENT DU DROIT DU PEUPLE SAHRAOUI À L’AUTODÉTERMINATION ET A LA PAIX
par Maître Takioullah Eidda
Le Secrétaire Général de l’ONU, Ban Ki-Moon, vient d’effectuer une visite en Mauritanie, en Algérie, dans les camps de réfugiés du F.Polisario et, en partie, au Sahara Occidental, excluant le Maroc.
Il ne fallait pas plus pour que ce dernier qualifie les déclarations de Ban Ki-Moon de «dérapages verbaux, de faits accomplis et de gestes de complaisance injustifiés».
Pourtant, Ban Ki-Moon n’a fait qu’exprimer une réalité évidente, à savoir le pourrissement de ce conflit, qui dure depuis 40 ans, avec l’absence de perspective de solution à l’horizon! D’ailleurs, c’est ce que son envoyé spécial, Chritopher Ross, a déjà dit et redit à plusieurs reprises.
En effet, toutes les rondes de négociations, entamées depuis l’instauration du cessez-le-feu en 1991, ont tourné en queue de poisson et au blocage hermétique. Si bien qu’il est permis de se demander si le Maroc et le F.Polisario veulent vraiment trouver une solution ou si, en revanche, ils ne cherchent pas à maintenir le statuquo pour des raisons propres à chacun, mais loin de l’intérêt du peuple sahraoui et de la paix dans la région.
À y regarder objectivement, le F.Polisario est dépouillé de toute initiative, si bien que ses dirigeants préfèrent le statuquo dans une «république virtuelle» à une solution dans laquelle ils seraient tenu de partager le pouvoir avec les sahraouis se trouvant à l’intérieur du territoire. Quant à ces derniers, ils jouissent de beaucoup de privilèges et avantages accordés par Maroc qu’ils craignent de les perdre avec un règlement définitif du conflit!
Alors, que faire? C’est au Maroc, de trouver une solution acceptable qui permet au peuple sahraoui d’exercer son droit à l’autodétermination et ainsi répondre aux impératifs des résolutions de Nations-Unies, notamment la résolution 1514 de 1960.
Car à ce jour, le Maroc est incapable de valider son annexion du Sahara Occidental, au point de rester sans aucune reconnaissance internationale de sa souveraineté sur le territoire, pas même de ses plus grands alliés: la France, l’Arabie Saoudite t les pays du Golf.
Considéré comme simple «puissance administrante du Nord du territoire» depuis 1975, puis enchevêtré dans le carcan juridique onusien, le Maroc est qualifié aujourd’hui par la Cour Européenne de «puissance occupante», de sorte qu’il ne peut commercialiser aucun produit venant du Sahara Occidental avec le label «produit du/au Maroc». Et, les réserves de ses partenaires à cet égard se multiplient les unes après les autres. On n’a qu’à citer plusieurs pays européens, y compris les pays scandinaves!
Certes, le Maroc a proposé au F.Polisario un plan d’autonomie élargie, avec des instances autonomes mais du coup, il le dénigre, le décrédibilise à outrance, lui nie sa légitimité, voire son existence, le qualifiant même de mouvement terroriste, au point de l’obliger à se radicaliser davantage.
Pourtant, analysée objectivement sur le plan pratique de son application, l’autonomie proposée par le Maroc porte intrinsèquement dans ses plis et son sillage la reconnaissance implicite du F.Polisario. Autrement, cette proposition resterait inapplicable, puisque le Maroc ne peut négocier avec lui-même la mise en œuvre de celle-ci! Il est donc dans l’intérêt du Maroc de trouver une solution, en négociant de bonne foi et en cessant de fertiliser les conditions de son adhésion à toute proposition, chaque fois qu’une solution pointe à l’horizon. C’est de cette façon qu’il peut se libérer de ce conflit qui n’a que trop duré et permettre, par ailleurs, aux vrais nationalistes sahraouis du F.Polisario de se libérer des griffes des ennemis de la paix.
Maître Takioullah Eidda, avocat
quebec171[at]gmail.com
Québec, Canada
11.03.16
-------------- Ce texte exprime l'opinion de l'auteur et n'engage pas les modérateurs du forum.
Le Secrétaire Général de l’ONU, Ban Ki-Moon, vient d’effectuer une visite en Mauritanie, en Algérie, dans les camps de réfugiés du F.Polisario et, en partie, au Sahara Occidental, excluant le Maroc.
Il ne fallait pas plus pour que ce dernier qualifie les déclarations de Ban Ki-Moon de «dérapages verbaux, de faits accomplis et de gestes de complaisance injustifiés».
Pourtant, Ban Ki-Moon n’a fait qu’exprimer une réalité évidente, à savoir le pourrissement de ce conflit, qui dure depuis 40 ans, avec l’absence de perspective de solution à l’horizon! D’ailleurs, c’est ce que son envoyé spécial, Chritopher Ross, a déjà dit et redit à plusieurs reprises.
En effet, toutes les rondes de négociations, entamées depuis l’instauration du cessez-le-feu en 1991, ont tourné en queue de poisson et au blocage hermétique. Si bien qu’il est permis de se demander si le Maroc et le F.Polisario veulent vraiment trouver une solution ou si, en revanche, ils ne cherchent pas à maintenir le statuquo pour des raisons propres à chacun, mais loin de l’intérêt du peuple sahraoui et de la paix dans la région.
À y regarder objectivement, le F.Polisario est dépouillé de toute initiative, si bien que ses dirigeants préfèrent le statuquo dans une «république virtuelle» à une solution dans laquelle ils seraient tenu de partager le pouvoir avec les sahraouis se trouvant à l’intérieur du territoire. Quant à ces derniers, ils jouissent de beaucoup de privilèges et avantages accordés par Maroc qu’ils craignent de les perdre avec un règlement définitif du conflit!
Alors, que faire? C’est au Maroc, de trouver une solution acceptable qui permet au peuple sahraoui d’exercer son droit à l’autodétermination et ainsi répondre aux impératifs des résolutions de Nations-Unies, notamment la résolution 1514 de 1960.
Car à ce jour, le Maroc est incapable de valider son annexion du Sahara Occidental, au point de rester sans aucune reconnaissance internationale de sa souveraineté sur le territoire, pas même de ses plus grands alliés: la France, l’Arabie Saoudite t les pays du Golf.
Considéré comme simple «puissance administrante du Nord du territoire» depuis 1975, puis enchevêtré dans le carcan juridique onusien, le Maroc est qualifié aujourd’hui par la Cour Européenne de «puissance occupante», de sorte qu’il ne peut commercialiser aucun produit venant du Sahara Occidental avec le label «produit du/au Maroc». Et, les réserves de ses partenaires à cet égard se multiplient les unes après les autres. On n’a qu’à citer plusieurs pays européens, y compris les pays scandinaves!
Certes, le Maroc a proposé au F.Polisario un plan d’autonomie élargie, avec des instances autonomes mais du coup, il le dénigre, le décrédibilise à outrance, lui nie sa légitimité, voire son existence, le qualifiant même de mouvement terroriste, au point de l’obliger à se radicaliser davantage.
Pourtant, analysée objectivement sur le plan pratique de son application, l’autonomie proposée par le Maroc porte intrinsèquement dans ses plis et son sillage la reconnaissance implicite du F.Polisario. Autrement, cette proposition resterait inapplicable, puisque le Maroc ne peut négocier avec lui-même la mise en œuvre de celle-ci! Il est donc dans l’intérêt du Maroc de trouver une solution, en négociant de bonne foi et en cessant de fertiliser les conditions de son adhésion à toute proposition, chaque fois qu’une solution pointe à l’horizon. C’est de cette façon qu’il peut se libérer de ce conflit qui n’a que trop duré et permettre, par ailleurs, aux vrais nationalistes sahraouis du F.Polisario de se libérer des griffes des ennemis de la paix.
Maître Takioullah Eidda, avocat
quebec171[at]gmail.com
Québec, Canada
11.03.16
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LE MAROC ET LE F.POLISARIO FRÉFÈRENT LE STATUQUO AU DÉTRIMENT DU DROIT DU PEUPLE SAHRAOUI À L’AUTODÉTERMINATION ET A LA PAIX
6.3.16
Ofrecer la nacionalidad saharaui a los solidarios que desean crear proyectos en las zonas liberadas
Propuesta por Emhammed Ali Al Ghasi
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Ofrecer la nacionalidad saharaui a los solidarios que desean crear proyectos en las zonas liberadas
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