29.1.13

EL FESTIN DE LOS HERMANOS TERMINATOR

por Ahmed Mohamed

Ali Salem Tamek, destacado activista y defensor de los derechos humanos, se queja amargamente de las prácticas del tribalismo, el nepotismo, trafico de influencias y la malversacion de fondos publicos, en una reciente entrevista con Radio Maizirtat desde las zonas ocupadas.

El entrevistado es un hombre cabal, patriota hasta la medula, no quiso mencionar nombres por aquello de aguila no caza moscas, pero en el fondo sabemos a quien se referia. Alguien esta tratando de sembrar división interna entre los activista saharauis en las zonas ocupadas, privilegiando a unos sobre otros, de acuerdo a su pertenencia tribal o regional catalogando a unos como nacionalistas y a otros como vende patrias, un gran favor al regimen marroqui, el autor intelectual de la trama se llama Bulsan, responsable de la oficina de coordinacion con las zonas ocupadas desde hace mas de dos decadas, cuya sede esta en Las Palmas de Gran Canarias. El personaje en sí es un experto en crear zozobra y cizañas, desempeñando el papel perfecto del quinta columna.

Lo curioso del caso, es que el hermano del ilustre responsable de la oficina de coordinacion es el actual canciller saharaui que tambien hizo su agosto en el ministerio de exteriores, tanto en la construccion como en la designacion del personal, a las pruebas me remito, desviacion de fondos, trafico de influencias, nepotismo y otros males que van arruinar el proyecto nacional.

Los hermanos terminator estan a sus anchas con el beneplácito de la clase politica, donde estan nuestros parlamentarios, o reaccionan pronto o mañana podria ser demasiado tarde.

Ahmed Mohamed
29.01.13
ahmoh15[at]hotmail.com

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28.1.13

Ali Salem Tamek s'insurge

par Mohamed Mahamud Embarec

Dans une interview (en arabe) accordée à Radio Maizirat directement transmise sur les antennes de Paltalk, le militant des droits de l'homme Ali Salem Tamek s'est insurgé contre les pratiques du Front Polisario.

Contrairement à Mohamed Akeik, Ministre des Territoires Occupés et de la Diáspora, Tamek n'a pas accusé les services secrets marocains d'être derrière la brochure apparue dernièrement sur la toile qualifiant son équipe de "Fils de Zion venus du sud du Maroc pour coloniser le Sahara Occidental". Il a pointé du doigt certains milieux du militantisme sahraoui qui seraient proches d'Omar Boulsan et dans le but serait de marginaliser l'équipe de Tamek.

D'après sa déclaration, les responsables sahraouis reprocheraient à Tamek d'être critique envers la gestion de l'affaire sahraouie dans les territoires occupés et il a appelé à l'application d'un des premiers principes du Front Polisario: La critique et l'autocritique. Tamek n'a pas mâché ses mots pour dénoncer le népotisme, le tribalisme, la corruption et autres maux à l’œuvre à tous les niveaux de l’appareil de l’Etat sahraoui et dont les répercussions se font sentir sur l'Intifadha.

A une question sur l'existence d'un malentendu entre lui et Boulsan, Tamek a dit préférer ne pas citer des noms "parce que le vrai problème vient de la méthode de gestion générale érigée par le Front Polisario qui a donné lieu à des maux qui minent notre appareil administratif et institutionnel".

Omar Boulsan est le responsabledu bureau sahraoui chargé de la coordination avec les territoires occupés du Sahara Occidental dont le siège se trouve à Las Palmas de Gran Canaria. A l'instar de son frère, Mohamed Salem Ould Salek, Ministre des Affaires Etrangères, il occupe ce poste depuis plus de 20 ans.

Des voix s'élevent aussi au ministère d'Ould Salek. Sur le site Futuro Saharaui, un diplomate sahraoui qui a préfére garder l'anonymat a initié une série de publications pour dénoncer la mauvaise gestion au Ministère des Affaires Etrangères, un des piliers de la lutte du peuple sahraoui depuis l'instauration du cessez-le-feu.

Dans un premier article, il a dévoilé la déviation d'une partie des fonds destinés à la construction du nouveau siège du Ministère qui vient d'être inauguré à Rabouni ainsi que les critères suivis pour le recrutement du nouveau personnel.

D'autre part, dans le but de mettre à jour la liste de pays reconnaissant la RASD, un site espagnol connu pour son activisme pour la cause sahraouie a envoyé par e-mail une question à ce sujet au Ministre des Affaires Etrangères. Le silence a été la réponse d'Ould Salek sur un sujet très sensible qui dévoile les mésaventures de la diplomatie sahraouie.

Mohamed Mahamud Embarec
28.01.13
front.polisario[at]gmail.com


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Ali Salem Tamek protesta

 por Mohamed Mahamud Embarec

En una entrevista (en arabe) con Radio Maizirat, directamente, retransmitida a través de las antenas de Paltalk, el activista de derechos humanos Tamek, arremetió contra las prácticas del Frente Polisario.
A diferencia de Mohamed Uld Akeik, ministro de las Zonas Ocupadas y de la Diáspora, Tamek, no ha acusado a los servicios secretos marroquíes de estar detrás del folleto aparecido recientemente en Internet, en el que llamaban a su equipo "Hijos de Sión venidos desde el sur de Marruecos para colonizar el Sahara Occidental". Por el contrario, se refirió a algunos círculos de activistas saharauis próximos a Omar Boulsan que tendrían el objetivo de marginar al equipo de Tamek.
Según su declaración, algunos responsables saharauis le han reprochado su crítica a la gestión del asunto de las Zonas Ocupadas y pidió la aplicación de los principios básicos del Frente Polisario: la crítica y autocrítica. Tamek no se anduvo con rodeos en la denuncia del nepotismo, el tribalismo, la corrupción y otros males en el trabajo en todos los niveles del aparato del Estado saharaui cuyas repercusiones se hacen sentir en la Intifada.
A una pregunta sobre la existencia de un malentendido entre él y Boulsan, Tamek, dice que prefiere no dar nombres, porque “el verdadero problema es el método de administración general erigido por el Frente Polisario, que ha dado lugar a diversos males que socavan nuestra maquinaria institucional y administrativa”.
Omar Boulsan, es el funcionario saharaui responsable de la Oficina de coordinación con las Zonas Ocupadas del Sáhara Occidental, que tiene su sede en Las Palmas de Gran Canaria. Al igual que su hermano, Mohamed Salem Ould Salek, Ministro de Asuntos Exteriores, ocupa ese cargo desde hace más de 20 años.
Y ya se elevan algunas voces que critican el Ministerio de Ould Salek. En el sitio web Futuro Saharaui, un diplomático saharaui que prefiere permanecer en el anonimato ha iniciado una serie de publicaciones para denunciar la mala gestión en el Ministerio de Relaciones Exteriores, uno de los pilares de la lucha del pueblo saharaui desde el establecimiento del alto el fuego.
En el primer artículo, denuncia el desvío de parte de los fondos para la construcción de la nueva sede del Ministerio, que recientemente fue inaugurado en Rabuni, al igual que critica los criterios seguidos para la contratación de nuevo personal.
Por otro lado, con el fin de actualizar la lista de países que reconocen la RASD, un sitio web español conocido por su activismo en favor de la causa saharaui ha enviado, por e-mail, una pregunta acerca de esto al Ministro de Asuntos Exteriores. El silencio fue la respuesta Ould Salek en un tema muy sensible que revela las desgracias de la diplomacia saharaui.

Mohamed Mahamud Embarec
28.01.13
front.polisario[at]gmail.com

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26.1.13

SAHARA OCCIDENTAL: L'ÉDIFICATION DU MAGHREB ARABE PASSE PAR LE RÈGLEMENT DE CE CONFLIT

par Me Takioullah Eidda

Quelle tristesse d'entendre le Président tunisien, Monsieur Mohamed Moncef Marzouki, un révolutionnaire, combattant de longue haleine pour la liberté de son peuple, dire, en marge de sa visite en Mauritanie, que les droits des peuples ne se valent pas, pour reprendre des termes utilisés ces jours-ci dans l'hexagone. C'est en fait ce que le Président tunisien a déclaré relativement au conflit du Sahara Occidental. Pour lui, ce conflit doit être "mis entre parenthèse" pour construire le Maghreb arabe. Sa proposition consiste à glisser ce problème sous le tapis et passer à la table de la coopération, comme si de rien n'était.
En toute lucidité, aucun dirigeant responsable du Maghreb ne croit qu'une réelle union ne puisse être construite sur des fondements d'argile. Car, le problème du Sahara Occidental est au cœur même du Maghreb et sa condition sine-qua-non. Les pays de cet ensemble doivent lui trouver une solution juste et définitive avant tout autre chose.
Les Nations-Unies ont adopté plusieurs résolutions, demandant aux parties, le Maroc et le F. Polisario, de trouver une solution qui permet au peuple sahraoui d'exercer son droit à l'autodétermination. Je ne les citerais pas ici, tellement elles sont connues de tous. Aussi, l'ensemble de ces résolutions invitent et demandent aux pays de la région du Maghreb d'appuyer les parties et la communauté internationale dans cette démarche de recherche de solution. Les résolutions des Nations-Unies sont claires: il n'est plus question d'indépendance du Sahara Occidental, suivant le désir du F. Polisario, ou d'annexion de celui-ci, suivant la volonté du Maroc, mais plutôt de permettre à la population de ce territoire d'exercer une forme d'autodétermination, qui jouit de l'adhésion des parties belligérantes: le Maroc et le F. Polisario.
C'est donc la créativité, l'imagination et la bonne foi de ces belligérants auxquelles s'en remet la communauté internationale pour mise en œuvre du processus d'autodétermination et, ainsi, répondre aux impératifs de la résolution 1514 de 1960 des Nations-Unies.
Malheureusement, c'est là où le bât blesse. Car, les parties sont tarées d'actions, taries d'idées et, comme si ce n'est pas suffisant, souffrent de cette tare originelle, celle d'être incapables, depuis 1975, d'un côté comme de l'autre, d'imposer unilatéralement une solution au conflit. Et pour cause: l'absence totale de leadership des dirigeants du F. Polisario, n'a d'égale, en fait, que le manque, aussi chronique, de conviction du Maroc dans son plan "d'autonomie" pour le Sahara Occidental.
Le F. Polisario est si dépouillé d'initiative, qu'il se contente aujourd'hui de jouer au tour opérateur, en organisant des "circuits touristiques" aux ONG et aux amis du peuple sahraoui.
Les populations dans les camps de réfugiés, n'en peuvent plus de la passivité des dirigeants du F. Polisario au regard des principes qui ont donné naissance au mouvement du 20 mai 1973. Ces dirigeants sont réduits, en fait, à grignoter les miettes des acquis de l'idée originelle, pour laquelle tant d'hommes et de femmes sahraouis ont donné leurs vies, sacrifiés leur bien-être et bien sûr ceux de leurs enfants. Le plus triste, est que ce soi-disant leadership du F. Polisario essaie, encore aujourd'hui, de persuader un peuple sahraoui, devenu autiste, de l'inévitabilité de son indépendance. Le dernier congrès en est la preuve de cette réalité. Portant, les membres de "l'élite" acclamées lors ce congrès sont en fait ceux-là mêmes qui sont à la tête de ce mouvement depuis 37 ans.  Trente sept (37) ans de stratégie vacillante, devenue avec le temps stérile, entre les incertitudes de l'indépendance et la peur de perdre les acquis gagnés sur les étendus arides de l'Ehmada algérien.
Que reste t-il pour le peuple sahraoui à présent? Rien! Assister impuissant à un maraudage ou, dirais-je, à un tournement de vautours autour de sa monture, agonisante, vers la liberté et l'indépendance.
Le Maroc, quant à lui, est loin d'être dans une meilleure posture. Oui, il occupe le Sahara Occidental, mais à quel prix? Élevé selon plusieurs. Sa politique de trente sept (37) ans d'assimilation et de domestication des populations sahraouies est un échec. Les derniers événements de Gdeim-Izik sont là pour nous le rappeler. Sans oublier, en outre, la mobilisation autour de l'imbroglio relatif au retour, au Sahara Occidental, de l'activiste sahraouie Aminetou Haidar, où l'opinion publique nationale et internationale ont forcé le Maroc à faire marche arrière.
Sur le plan de la légitimité de son annexion, aucun pays au Monde, pas un seul, même parmi ses alliés les plus ardents (la France ou l'Arabie Saoudite), ne reconnait sa souveraineté sur ce territoire. Encore moins les Nations-Unies, qui dédaigne encore à lui accorder le statut de puissance administrative.
Certes, le Maroc a lancé l'idée de son "plan d'autonomie" au Sahara Occidental. Mais cette idée n'a jamais été suivie par une volonté de mise en œuvre sous une forme quelconque. Pour rappel, le "plan d'autonomie" du Maroc repose, entre autres, sur l'implantation d'un gouvernement autonome, avec un parlement régional, tous les deux responsables des leviers économiques, politiques, y compris la gestion des ressources du territoire et de sa sécurité. Il faut dire que ce plan, répond en partie à certaines revendications historiques du peuple sahraoui: la mise en place de ses propres institutions politiques et la gestion de ses ressources naturelles. Le problème, est non le moindre, c'est que le Maroc manque cruellement de conviction pour la réalisation de son plan. Pourtant, devant la passivité du F. Polisario, plusieurs hauts dirigeants de ce mouvement ont rallié le Maroc, espérant sans doute participer à la mise en place de son "plan d'autonomie". Rien n'y fait! En fait, le Maroc joue la carte du fait accompli, la carte de l'usure, la carte de l'écoulement du temps. Ce qui laisse à croire, à plusieurs, qu'il n'est pas de bonne foi dans sa démarche autonomiste.
Nous sommes donc, encore une fois, devant deux belligérants, taris d'idées, d'imagination, incapables, d'un côté comme de l'autre, d'imposer unilatéralement une solution, entièrement cantonnés et figés dans leurs positions respectives, lesquelles ne laissent aucune place au compromis.
Pendant ce temps, le peuple sahraoui, de part et d'autre de la frontière, piégé par les acteurs du conflits, souffre et continue de souffrir dans sa chair et de son sang de ce conflit. Après 37 ans d'attente, d'exil, de misère, de domestication, il est temps que les pays de la région s'impliquent, et s'appliquent, dans la foulée de la nouvelle dynamique géopolitique, en obligeant les parties de trouver une solution à ce conflit et, ainsi, endiguer ce cancer dont souffre la région du Maghreb.
Passer outre, comme le demande le Président tunisien, Monsieur Mohamed Moncef Marzouki, n'est pas la bonne chose à faire, encore moins, le bon message à envoyer aux parties et leurs alliés.
Le peuple sahraoui, le peuple oublié, a droit à sa chance de vivre en paix. Sa chance de sortir de cette situation chaotique, d'éparpillement de familles, de dépendance de l'assistance internationale, d'incertitude, d'exil, de répression, de l'indifférence des autres et de l'attente d'une solution qui n'arrive pas.
Le Maghreb arabe ne peut, et ne doit, être construit aux détriments des droits du peuple sahraoui à l'autodétermination. Que la solution soit à l'avantage de la position du Maroc ou celle du F. Polisario, il est temps que cette solution soit trouvée afin d'abréger les souffrances des sahraouis, souffrances, rappelons-le, devenues insupportables pour la conscience humaine.

Me Takioullah Eidda,
Avocat & Procureur, Québec, Canada.
quebec171[at]gmail.com
[publié dans les médias Mauritaniens CRIDEMhttp://cridem.org/C_Info.php?article=625994, AL AKHBAR & l'ANI, en marge de la visite du Président tunisien à Nouakchott]


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Los presos saharauis interpelan la conciencia de la MINURSO

 por Haddamin Moulud Said
Cinco revoluciones, la caída de cuatro regímenes, una secesión, una intervención de la OTAN y una intervención francesa ayudada por la CEDAO. Este el resultado de la acción de los 23 civiles saharauis que Marruecos mantiene encarcelados desde finales de 2010 y que piensa juzgar en un tribunal militar.

Visto así, estos criminales se merecen un tribunal de Núremberg. Y deberían ser condenados, como mínimo, a cadena perpetua.

Sin embargo, parece que la “R” de referéndum, letra que comparten con la MINURSO, los mantiene lejos de toda imputación internacional.

Desde que aquellos 23 civiles habían sido encarcelados por Marruecos, ha habido cinco revoluciones (Túnez, Egipto, Libia, Yemen y Siria) bendecidas, todas, por los países occidentales; una intervención militar en Libia, llevada a cabo por la OTAN; y una intervención en Malí, saludada por la Comunidad Internacional. Y sin embargo nadie ha movido ni un músculo, no ya para sacarlos de la cárcel, sino para evitarles comparecer ante un tribunal militar.

Hace ya más de 20 años que la ONU había creado un Comité de NN.UU para llevar a cabo una Cosa en el Sahara Occidental. E incapaz, dicho de Comité, de llevar a cabo el cometido para el que había sido creado, los naturales del territorio en cuestión, habían salido en su ayuda, reclamando que se lleve a cabo lo acordado por la ONU. Ellos, los 23 civiles saharauis, que, con permiso de Chomsky, habían prendido la chispa que más tarde haría cambiar todo el mapa del mundo árabe, fueron encarcelados y lo siguen estando ante la vergüenza de ese Comité de NN.UU para llevar a cabo un referéndum en el Sahara Occidental.

El caso, ciertamente, interpela las conciencias del Consejo del Seguridad, de Ban Ki Moon, de Cristopher Ross y de Wolfgang Weisbrod-Weber. La factura por la indebida dilación en el tiempo, no la paga el Consejo de Seguridad ni BKM ni el Sr. Ross ni, tampoco, el Sr. Weisbrod-Weber. Esta factura la están pagando, con sus huesos en la cárcel, unos 23 civiles saharauis.

El mencionado Comité de la ONU establecido en el Sahara Occidental, lleva más de 20 años con todos sus derechos garantizados; sus salarios, puntualmente, abonados; sus privilegios y prebendas correctamente controlados. Y, mientras, el pueblo que sirve de colchón a sus intereses, lleva más de 20 años sin ningún tipo de garantías. Por no tener, no tienen, ni siquiera, la solidaridad de esa MINURSO en cuya ayuda habían salido en octubre de 2010.

Hacéis muy buenas cuentas sobre cuánto lleva gastado la ONU en cada uno de sus cascos azules en el Sahara Occidental y, también, contáis muy bien, los emolumentos que habéis ingresado gracias a esta misión. ¿Sabéis cuánto ha sufrido el pueblo saharaui, a ambos lados de la berma, para garantizaros vuestros sueldos, durante estos más de 20 años?  مصائب قوم، عند قوم، فوائد, ya me entiende el Sr. Ross.

Así las cosas y con ocasión del juicio de los 23 presos de Salé, el Sr. Ross, en compañía del Sr. Weisbrod-Weber, deberían dirigir algún discurso a los saharauis para convencerles (y cuán difícil va a ser) de que la excesiva prolongación en el tiempo de su misión, no persigue prolongar los sufrimientos del pueblo saharaui y que ellos, Ross y Weisbrod-Weber, no tienen nada que ver con el encarcelamiento de 23 saharauis en Salé ni con su comparecencia ante un tribunal militar. ¿Lo harán?

Haddamin Moulud Said.
ibnuabirabiaa[at]yahoo.es
25 de enero de 2013.

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15.1.13

Lettre à Arso, à la suite des opinions publiées depuis le 26 décembre

ppar Niko

Je viens de découvrir le contenu des cinq dernières opinions qui ont été publiées par Arso (avant vos éclaircissements d’aujourd’hui). Et je suis surprise de voir que les gens s’y livrent à des attaques personnelles d’une virulence incroyable, à partir de spéculations vraiment très fumeuses. Tout cela n’aurait guère d’importance, si ce n’était pas sur le site d’Arso, qui œuvre pour la connaissance et la défense du peuple sahraoui.
Pourtant, comme il se doit, vous priez instamment les contributeurs de ne pas faire d’attaques personnelles.
Pourquoi alors avez-vous laissé passer des propos aussi manifestement malveillants que ceux d’Haddamin Moulud Said, sans y apporter de démenti ? Car vous aurez pu vérifier la nomination par le Parlement européen, en décembre, d’un rapporteur sur la situation des droits de l’homme au Sahara Occidental (M. Charles Tannok), ce qui constitue tout de même une victoire pour les Sahraouis, pour les défenseurs des droits de l’homme en particulier. Laisser dire que le ministre délégué auprès de l’Europe« n'a aucune idée de ce que le Parlement européen fait ou ne fait pas » et que sa confirmation de la nomination du rapporteur trahit « une ignorance digne d'un enfant de maternelle », c’est vraiment affligeant !
Je crois qu’il n’y a que les adversaires marocains pour se réjouir d’un tel étalage de rancœurs, et que vous ne devez pas laisser faire.
Car c’est la crédibilité d’Arso qui me semble ainsi remise en cause, et à travers elle, la validité de ce que vous promouvez, à savoir la cause du peuple sahraoui.

Niko
15.01.13
ngasnier[at]hotmail.fr

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14.1.13

Clarificaciones para terminar el debate

por arso

Con estas aclaraciones, desfortunadamente llegadas un poco tardes,  me gustaria terminar el debate.
Hasta luego, la próxima vez un poco menos emocional...
I wish to close the discussion with this clarifications .
J'aimerais clore la  discussion avec ces clarifications arrivées malheureusement un peu tard.


  14.01.13, Question to MEP Charles Tannock by twitter: (original engl.)
arso: Can you confirm you are in charge of a report on Human Rights  in Western Sahara and Sahel as a special representative of EU ?
Answer by DrTannock:
I am rapporteur of the European Parliament, NOT THE EU, on this topic,  but I havent started on the report yet.
Explanations on EU website:
A “rapporteur” - the person who presents reports to Parliament.
“Rapporteurs are elected by fellow MEPs when one of Parliament's committees is assigned to draft up a report ....."   more: http://www.europarl.europa.eu/sides/getDoc.do?language=en&type=IM-PRESS&reference=20060725STO09938

In conclusion: Mohamed Sidati did NOT invent a special  rapporteur for  Human Rights for the European Parliament

14.01.13,  Pregunta al diputado europeo Charles Tannock por twitter (trad. arso):
arso: ¿Pueden usted confirmar que están a cargo de un informe sobre los Derechos Humanos en el Sáhara Occidental y el Sahel como representante especial de la UE?
Respuesta del Dr Tannock:
Soy ponente del Parlamento Europeo NO DE LA UE sobre este tema, pero no he iniciado  el informe todavía.
Explicaciones en la web del PE
"Ponente": la persona que presenta informes al Parlamento
Los diputados que elaboran los informes son también conocidos con el término francés “rapporteur”
"Los ponentes son elegidos por la Eurocámara cuando se designa a una comisión para elaborar el informe,..." mas : http://www.europarl.europa.eu/sides/getDoc.do?pubRef=-//EP//TEXT+IM-PRESS+20060725STO09938+0+DOC+XML+V0//ES

En conclusión: Mohamed Sidati NO se inventa un Relator Especial europeo sobre los DD.HH

14.01.13, question au député européen Charles Tannock par twitter: (original anglais, trad. arso)
arso: Pouvez-vous confirmer que vous êtes chargé d'un rapport sur les droits de l'homme au Sahara Occidental et au Sahel en tant que représentant spécial de l'UE?
Réponse du Dr Tannock:
Je suis rapporteur du Parlement européen PAS de l'UE à ce sujet, mais je n'ai pas encore commencé le rapport pour le moment.
Explications sur le site du PE:
Le « rapporteur » : la personne chargée de présenter les rapports au Parlement
“Les rapporteurs sont élus par leurs collègues lorsque l’une des commissions du Parlement est chargée de préparer un rapport..."  la suite: http://www.europarl.europa.eu/sides/getDoc.do?pubRef=-//EP//TEXT+IM-PRESS+20060725STO09938+0+DOC+XML+V0//FR

En conclusion: Mohamed Sidati n'a PAS inventé  un Rapporteur Spécial européen pour les Droits de l'homme.


On an other level:
The EU and human rights
EU Special Representative (EUSR) for Human Rights: Mr Stavros Lambrinidis
see: http://eeas.europa.eu/human_rights/index_en.htm
and 11 EU Special Representatives in different countries

A un autre niveau:
L'UE et les droits de l'homme
Représentant spécial de l'UE (RSUE) pour les droits de l'homme : Stavros Lambrinidis et 11 Représentants spéciaux de l’UE par régions

A  otro nivel
La UE y los derechos humanos
Representante Especial de la UE: Stavros Lambrinidis
11 Representantes Especiales de la UE por regiones
ver los enlaces inglés o francés antecedentes


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10.1.13

De Sahara Hernandez a Haddamin Said Moulud

 por Sahara Hernandez

Me alegro viendo que Ud piensa que esta carta fue escrita por Uld Sidati, pero se equivoca, porque la escribió una persona con mucho menos titulos academicos pero con mucho cariño hacia el Pueblo Saharaui, que no quiere ver como los saharauis mismos están desperdiciando su mayor patrimonio: el Frente Polisario. Además Uld Sidati no tiene ni el tiempo ni la gana de contestar a esta vulgares acusaciones, que por cierto no le van a causar ni rabia ni miedo, siendo una persona pacifica y en paz con su conciencia, respeto al trabajo que desarrolla y en las condiciones difíciles en las cuales tiene que trabajar.

Ud se pregunta por qué Uld Sidati tardó tanto en contestar a su carta: fué simplemente porque no lo hizo él, al cual no le importan sus delirantes criticas, sino le contestó una persona a la cual si le importa la verdad y aborrece la mentira.

Ud, se atreve a decir “que Uld Sidati, lejos de encontrarse en las frías sedes del Europarlamento, en Bruselas o Estrasburgo, se encontraba buscando calor en sus santuarios de Italia”.

Como Ud. bién sabe Uld Sidati no es un Nasrani y no hay santuarios en Italia donde vaya a prosternarse. Ademas Italia no es el Caribe que Ud, conoce bién, y en esa epoca no hay tanta calor. Además hay muchos eurodiputados testigos de donde se encontraba el 12 de Diciembre Uld Sidati.

Lo que me extraña es que Ud que siempre está muy bién informado sobre todo lo que pasa en el mundo no sabia que el 27 de diciembre Uld Sidati presenció en Paris a una reunión de la Comunidad Saharaui en Francia o en Europa (no recuerdo bién) como dió noticia la misma agencia de prensa saharaui SPS; y desde ahí viajó directamente a Tinduf a los Campamentos de Refugiados, donde a pesar de estar enfermo, participó a la reunión del Secretariado Nacional. Reunión en la cual se discutieron otros argumentos mas importantes que las chacharas sobre lo que se cuenta en Arso.

Su mala fé, señor Haddamin, está nuevamente demostrada en la afirmación que Uld Sidati “tan dolido por esta derrota diplomatica, fué a buscar la Baraka de un Santo en Tiznit, (más de 100 al norte de Guleimim)”.

Todo los saharauis saben que ahí es donde en paz descansan sus antepasados, cuyo renombre – le guste o no a Ud. – se extiende atravez del Sáhara Occidental, Mauritania, Marruecos, Argelia.

Pero querer inducir a los refugiados saharauis, que son conocidos por ser sabios y pacientes, a pensar que una persona que se encuentra en Tinduf al mismo tiempo pueda encontrarse en Tiznit, es una ofensa a la inteligencia de su mismo pueblo, señor Haddamin. Además Uld Sidati no pisa esa tierra desde su niñez; por eso no entiendo qué quiere insinuar. Ni esta es epoca de luchar contra la ocupación del Sáhara con la sola arma de la Baraka, que desgraciadamente a ese Santo (que en paz descanse y que Diós me perdone) no le sirvió a salvar el Sáhara de la ocupación colonial ni cuando estaba en vida, fíjense ahora.

Ud. habla de metodos que los saharauis aborrecen desde 1988, desgraciadamente me resulta que no es así, sino todo lo contrario y que la supuesta Unidad Nacional se fué al carajo hace mucho tiempo a favor de un sistema tribal que impera tanto el los campamentos de refugiados como en los Territorios Ocupados.

No fué Uld Sidati a sacar el argumento del linaje, sino YO, la misma persona que le escribe estas palabras. Además lo del linaje no está dirigido al Secretariado Nacional, que sabe muy bién de donde viene Uld Sidati, de donde viene cada uno de ellos y también de donde viene Ud. Y no comprendo de que indulgencia habla respeto a un hombre que no dudó en trabajar por su Pueblo incluso durante una grave enfermedad. Indulgencia por qué? Acaso un relator, especial o menos, puede parar las violaciones de los derechos humanos en el Sáhara? Acaso estos derechos no están vulnerados en la mayoria de los paises del mundo, Europa incluyda? Ud. delira. Espero solo que sea fiebre de gripe.

También su forma de expresarse sobre “el cacareado titulo academico del Ministro” es muy ofensiva y no se entiende por qué. Lo mismo se podría decir del suyo, señor Haddamin, conseguido no sé bién dónde, pero seguramente conseguido gracias al Polisario. De toda forma poco importa. Lo que importa es el respeto y quién no respeta a los demás no se merece respeto.

Por el resto no quiero confutar sus argumentos tan bién documentados sobre el falso nombramiento por parte del Parlamento Europeo de Charles Tannock como Relator Especial sobre el Sáhara y el Sahel, porque no practico la politica, ni mucho menos a nivel internacional, ni por supuesto la diplomacia, pero conozco la diferencia geografica entre el Sáhara y el Sahel.

Creo que es Ud. con sus informaciones distorsionadas, que presumen de estar muy documentadas, no se sabe atravéz de qué fuente, a engendrar mucha confusión en la inexperta prensa saharaui ( me perdonen los periodistas saharauis por esta afirmación, ya que conozco bastante bién los escasos medios que tienen a disposición y la dificultad de orientarse en un mundo tan complejo como el de la información inernacional). Pero si están dispuestos a creer en las elucubraciones del señor Haddamin y no en la palabra de uno de sus mas expertos dirigentes quiere decir de verdad que son muy ingenuos. Además si como Ud cuenta a partir de entonces, O SEA A PARTIR DE ESA NOTICIA FALSA, “el caos, se apodera de todo el mundo y, especialmente, de los medios de información saharauis”, hay que preocuparse de verdad si esos medios de informacion no tienen acceso a la fuente directa y tienen que esperar que le llegue desde afuera (Valencia) la revelación profetica sobre la verdad o la mentira.

De toda forma poco me importa lo que hace uno u otro dirigente saharaui. Solo espero que cumpla con su deber de defender a la causa. Pueda que la manera con la cual lo haga ya no sea eficaz pero tampoco la suya lo es señor Haddamin y no entiendo dónde quiere llegar. Mejor sería hablar de ideas, propuestas, proyectos...

Ud me arrastró en esa estéril polemica (que solo tiene el objetivo de su parte de generar desconfianza y ulterior malestar en un pueblo que solo espera paz y libertad) porque me indignan las injusticias y Ud. fue muy injusto con una persona que puede representar dignamente al Pueblo Saharaui en Europa o donde sea. Y como él hay muchos otros, aunque, estoy de acuerdo con Ud, no todos están a la altura. Desgraciadamente Ud. no tuvo la oportunidad de demostar su capacidad en el campo diplomatico y de medir a que altura llegaría.

A Ud. también le deseo un 2013 de paz.

Sahara Hernadez, amiga del Pueblo Saharaui y enemiga de las injusticias y de las mentiras.
10.01.13
saharaenelcorazon61[at]gmail.com

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9.1.13

Réponse à Mohamed Sidati

 par Haddamin Moulud Said
 [traduction de l'article: Respuesta a Mohamed Sidati]

De l'ensemble du texte de la lettre redigée par Ould Sidati et publiée sur ARSO, il n'y a que le cinquième paragraphe qui mérite d'être retenu, où, jusqu'à présent, il persiste à balancer un flagrant mensonge conçu par la propagande ennemie, dans lequel il affirme la vérité d'une information que même ses concepteurs marocains n'y croient plus.
Dans le seul but de motiver la nécessité de répondre à cette lettre rédigée, sans aucun doute, par Mohamed Sidati, le Ministre chargé de l'Europe, nous allons établir les faits suivants:
Premièrement -. L'information sur la nomination par le Parlement Européen d'un Rapporteur Spécial pour les droits de l'homme au Sahara Occidental, est une histoire qui a été générée exclusivement par des médias digitaux marocains à partir du 20 Décembre 2012 .
La façon dont Ali Lmrabet avait publié l'information attirait particulièrement  l'attention. Puisque, partant de l'éventuelle véracité de la nouvelle, Lmrabet, est allé directement se poser des questions sur le silence suspect du Maroc et du Polisario face à la décision du Parlement Européen. Cette approche donnait autant de crédit à l'information que tout lecteur peu prudent, comme c'était le cas d'Ignacio Cembrero, pouvait avaler la véracité de la nouvelle sur la nomination du Rapporteur spécial.
Deuxièmement -. Le 24 Décembre 2012, la version arabe du SPS publiait l'information, mais, à juste titre, elle cite sa source, Al Quds Al Arabi, édité à Londres.
Le soir, l'information est relayée par le journal télévisé de RASD-TV, en se basant, bien sûr, sur la dépêche de la SPS.
C'est-à-dire, ce n'est pas le Ministre Délégué pour l'Europe qui a informé nos médias sur cette soi-disant importante information. En fait, lorsque les soupçons ont émergé sur l'authenticité de la nouvelle, Ould Sidati, loin d'être dans les sièges glacés du Parlement Européen à Bruxelles ou à Strasbourg, était à la recherche du chaud dans ses sanctuaires de l'Italie.
Troisièmement -. C'est une fois lancée l'alerte sur la fausseté de l'information que Ould Sidati a été contacté par Rabouni pour être questionné. Et depuis l'Italie, il a confirmé la véracité de l'information.
C'est à ce moment-là qu'une ambiance de chaos commence à faire ravage, en particulier dans les médias sahraouis.
C'est vrai que l'alerte sur la fausseté de cette information était accompagnée d'une telle batterie d'arguments qu'elle ne laissait à Ould Sidait qu'une seule option : présenter une preuve concluante sur la nomination par le Parlement Européen d'un Rapporteur Spécial. Chose qu'il n'a jamais faite.
En manque de cette preuve, il a rendu tout le poids de l'affaire sur sa propre crédibilité en tant qu'homme et en tant que politicien. En d'autres termes, Ould Sidati a mis en gage sa propre crédibilité dans la fausseté ou la véracité d'une information fabriquée par l'ennemi. Il a pris l'affaire comme un bras de fer entre lui et un chroniqueur d'ARSO.
Le Secrétariat National sahraoui, lors de sa session ordinaire du 06 janvier 2013 (1), dans son communiqué officiel oú il fait le bilan des évènements les plus importants de l'année écoulée, a tranché sur la question en évitant toute référence à une désignation imaginaire par le Parlement Européen d'un inexistant Rapporteur spécial pour le Sahara occidental.
Et, dans son verdict, le Secrétariat National sahraoui, a été si dur que Ould Sidati, pour soulager sa douleur, n'a eu d'autre choix que de se remettre à Tiznit (100 km au nord de Goulimim) en quête de la baraka d'un Saint .
Le Secrétariat National sahraoui, devenu à cette occasion une sorte de Cour d'Appel, a dû examiner les arguments de part et d'autre.
A) - La partie qui confirme la véracité de la nouvelle, a avancé les arguments suivants:
A.1) -. Sa propre parole. C'est-à-dire, sa crédibilité et son autorité en tant que Ministre Délégué chargé de l'Europe;
A.2) - Plus tard, il a ajouté deux arguments qui allaient, alors, devenir son propre tombeau: l'article d'Ignacio Cembrero et l'existence présumée dans le rapport du PE sur les droits de l'homme d'une phrase comme celle-ci: "Un Rapporteur Spécial pour les droits de l'homme au Sahara occidental et au Sahel" (tel qu'indiqué dans sa lettre à ARSO);
B) - La partie qui prône la fausseté de la nouvelle a présenté les arguments suivants:
B.1) - Dans le rapport du PE sur les droits de l'homme il n'y a aucune allusion au Sahara occidental en dehors du paragraphe 46 et, par conséquent, rien ne s'y trouve sur le Rapporteur Spécial;
B.2). - La faculté de nommer un Rapporteur Spécial revient au Conseil de l'Union et non au Parlement. L'ignorance de ce fait est le poids restant au diplôme académique vanté par le Ministre;
B.3) - L'information n'apparaît sur aucun site web de l'Europe, qu'il soit officiel ou pas. Le seul qui a repris la nouvelle a éte Ignacio Cembrero dans son édition digitale (jamais imprimée) du quotidien El Pais. Mais ce journaliste, deux heures après avoir publié la nouvelle, il l'a retouchée justement pour  supprimer le paragraphe faisant réference au Rapporteur Spécial. Même si elle apparaît encore dans le sous-titre de l'histoire parce que les correspondants ne peuvent retoucher les titres ni les sous-titres une fois publiés;
B.4) -. En tenant compte que le Maroc s'oppose à l'extension du mandat de la MINURSO, le fait qu'aucun média officiel marocain ni aucun parti politique n'ait réagi face à cette "audace" du Parlement Européen, mène à se douter de la fausseté de la nouvelle;
B.5) -. Mêler le Sahara occidental au Sahel et, plus toxique encore, mêler les droits de l'homme du Sahara occidental au Sahel, comme persiste à signaler Ould Sidati dans sa lettre à ARSO, s'ajuste avec une précision millimétrique au modus operandi marocain;
B.6) -. Il n'y a aucune trace de cette information dans la page web du Rapporteur Spécial présumé ni dans son compte Facebook ni sur son Twitter, ni dans le Registre Public de son activité politique.
Certes, l'artillerie d'arguments avec laquelle cette partie avait blindé sa requête était plus que suffisante pour que le Secrétariat National laisse tomber les faibles arguments de la partie opposée et conclure ce qui a déjà été cité dans son Communiqué rendu publique le 06/01/2013, dans lequel il n'ya aucune trace de ce "trophée" supposé que Ould Sidati voulait nous vendre sans l'avoir, auparavant, chassé.
Pourquoi Ould Sidati a attendu si longtemps pour répondre à un article publié depuis le 26/12/2012?. Il a écrit son article le 07/01/2013, même s'il a été publié seulement le 01/08/2013. Parce que, tout simplement, il gardait l'espoir de trouver de la compassion et de l'indulgence auprès de la Session Ordinaire du Secrétariat National sahraoui. Faute de quoi il s'est retourné vers les pages d'ARSO en quête de protection et de refuge que le Secrétariat National sahraoui lui a niés. Et dans ce but, il n'hésite pas à faire recours à des méthodes que les Sahraouis détestent depuis 1988. En fait, l'allusion à une lignée d'une souche spécifique n'est pas adressée aux lecteurs d'ARSO, mais aux membres du Secrétariat National.

P:S.: Je profite de l'occasion pour dire à mon ami Said Mahamud que je n'ai jamais de la vie refusé de travailler au Brésil. Au contraire, j'ai fait tout ce que j'ai pu et plus encore pour rejoindre le poste qui m'a été désigné. Mes responsables directs et immédiats peuvent en apporter la preuve.

Haddamin Moulud Said
09.01.13
ibnuabirabiaa[at]yahoo.es

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Respuesta a Mohamed Sidati

por Haddamin Moulud Said

De todo lo escrito por Uld Sidati en su carta a arso, sólo merece la pena detenerse en el párrafo quinto donde, a estas alturas, sigue dando pábulo a una burda mentira fabricada por la propaganda enemiga, en la que afirma la veracidad de una noticia, que ya no se la creen ni los propios marroquíes que la habían inventado. A los solos efectos, de motivar la necesidad de responder a esta carta escrita, sin duda alguna, por Mohamed Sidati, el Ministro Encargado para Europa, vayamos a fijar los hechos siguientes:
Primero.- La noticia sobre el nombramiento, por el Parlamento Europeo, de un Relator Especial para los Derechos Humanos en el Sahara Occidental, es una noticia que se generó, exclusivamente, en medios digitales marroquíes, a partir del día 20 de diciembre de 2012. Especialmente, había sido clave la manera en que Ali Lemrabet había difundido la noticia, el 21-12-2012. Puesto que, dando por hecho que la noticia es verídica, Lemrabet, entraba directamente a preguntarse por el sospechoso silencio tanto de Marruecos como del Polisario ante la decisión del Parlamento Europeo. Ese enfoque, le otorga tal verosimilitud a la noticia, que cualquier lector, poco precavido, se traga la veracidad de la noticia sobre el nombramiento del Relator Especial.

Segundo.- El día 24 de diciembre de 2012, la versión árabe del SPS recoge la noticia pero, con acierto, cita la fuente. En este caso, había sido Al Quds Al Arabi, editado en Londres. Ya por la noche, el Telediario de RASD TV, incluye la noticia en su información, recogiéndola, por su puesto, desde el SPS. Es decir, no ha sido el Ministro Delegado para Europa, quien ha informado a nuestros medios sobre esa, supuestamente, importante noticia. De hecho, cuando surgen las sospechas de falsedad en torno a la noticia, Uld Sidati, lejos de encontrarse en las frías sedes del Europarlamento, en Bruselas o Estrasburgo, se encontraba buscando calor en sus santuarios de Italia.

Tercero.- Una vez lanzado el aviso sobre la falsedad de la noticia, es cuando se contacta, desde Rabuni, con Uld Sidati para verificar la cuestión. Y éste contesta, desde Italia, confirmando la veracidad de la noticia. A partir de entonces, el caos, se apodera de todo el mundo y, especialmente, de los medios de información saharauis.
Ciertamente, el aviso sobre la falsedad de la noticia venía acompañado de una batería de argumentos tal, que sólo le dejaba una opción, a Uld Sidati: exhibir alguna prueba concluyente sobre el nombramiento, por el PE, de un Relator Especial. Algo que nunca hizo.
Al no exhibir esa prueba, hizo depender todo el peso del asunto, de su propia credibilidad como hombre y como político. Es decir, Uld Sidati, empeñó su propia credibilidad en la falsedad o veracidad de una noticia fabricada por el enemigo. Se tomó el asunto como un pulso entre él y un articulista de arso.
El Secretariado Nacional Saharaui, en su Sesión Ordinaria del pasado día 06-01-2013, al hacer público un Comunicado Oficial  donde se recogen todos los hechos importantes del año pasado, zanjó definitivamente la cuestión, al evitar toda alusión a una imaginaria designación, por el Parlamento Europeo, de un inexiste Relator Especial para el Sahara Occidental.
Y, en su veredicto, el Secretariado Nacional Saharaui, ha sido tan duro que, Uld Sidati, para paliar su dolor, no ha tenido más remedio que recurrir a Tiznit (más de 100 al norte de Guleimim) para buscar la ‘baraka’ de un Santo.
El Secretariado Nacional Saharaui, convertido, para la ocasión, en una especie de Corte de Apelaciones, tuvo que examinar los argumentos de una y de otra parte.
A).- La parte que confirma la veracidad de la noticia, expuso los argumentos siguientes:
A.1).- Su propia palabra. O sea, su credibilidad y su autoridad como Ministro Consejero Encargado de Europa;
A.2).- Más tarde, añadió dos argumentos que, luego, se convertirían en su propia tumba: El artículo de Ignacio Cembrero y la supuesta existencia, en el Informe del PE sobre los DD.HH, de una frase como esta: “Un Relator Especial para los derechos humanos en el Sahara Occidental y el Sahel” (tal y como aparece en su carta a arso); 
B).- La parte que propugna la falsedad de la noticia, expuso estos otros argumentos:
B.1).- En el Informe del PE sobre los DD.HH no existe alusión al Sahara Occidental fuera del párrafo 46 y, ahí, nada se dice sobre el Relator Especial;
B.2).- La competencia para nombrar a un Relator Especial corresponde al Consejo de la Unión y no al Parlamento. El desconocimiento de este dato es lo que resta gramaje al cacareado título académico del Ministro;
B.3).- La noticia no aparece por ningún sitio web de Europa, sea oficial o no lo sea. El único que se ha hecho eco de la noticia, ha sido Ignacio Cembrero en la edición digital (nunca impresa) del diario El País. Pero este periodista, a las dos horas de publicar la noticia, volvió a retocarla, precisamente, para borrar el párrafo que alude al Relator Especial. Si bien, en el subtítulo de la noticia aún aparece una alusión, puesto que los corresponsales no pueden retocar ni los títulos ni los subtítulos una vez ya publicados;
B.4).- Teniendo en cuenta que Marruecos se opone a la ampliación del mandato de la MINURSO, el dato de que ningún medio de comunicación oficial marroquí ni, tampoco, ningún partido político hayan reaccionado ante esa ‘osadía’ del Parlamento Europeo, opera, dicho dato, en la dirección de dar por falsa la noticia;
B.5).- Mezclar el Sahara Occidental con el Sahel y, algo más tóxico aún, mezclar los DD.HH en el Sahara Occidental con el Sahel, como vuelve a insistir en ello Uld Sidati en su carta a arso, se ajusta con precisión milimétrica al modus operandi marroquí;
B.6).- No hay ni rastro de la noticia en la página web del supuesto Relator Especial, Charles Tannock, ni en su cuenta en Facebook, ni en su cuenta en Twitter ni, tampoco, en el Registro Público de su actividad política.
Ciertamente, la artillería argumental con la que esta parte había blindado su pretensión, fue más que suficiente para que el Secretariado Nacional, dejara sin consideración los argumentos, de poca monta, esgrimidos de contrario y concluir con lo ya sabido en su Comunicado público del 06-01-2013, en el que no existe ni rastro de ese supuesto ‘éxito’ que Uld Sidati quería vendernos sin, antes, haberlo cazado.
¿Porqué Uld Sidati ha esperado tanto tiempo para contestar a un artículo publicado el pasado día 26-12-2012? Él ha escrito su artículo el día 07-01-2013, aunque se haya publicado con fecha 08-01-2013, porque, sencillamente, albergaba la esperanza de encontrar compasión e indulgencia en la Sesión Ordinaria del Secretariado Nacional Saharaui. Y al no encontrarla y sentirse totalmente herido, es cuando ha acudido a las páginas de arso para buscar la protección y amparo que le niega el Secretariado Nacional Saharaui. Y para ello no duda en acudir a métodos que los saharauis aborrecen desde 1988. De hecho la alusión a un linaje de una concreta estirpe no va dirigida, dicha alusión, a los lectores de arso, sino a los miembros del Secretariado Nacional.

P.D. Aprovecho la ocasión para decirle a mi amigo Said Mahamud que yo nunca, jamás, he rechazado trabajar en Brasil. Todo lo contrario, he hecho cuando he podido y más, para incorporarme al puesto que me ha sido designado. Mis responsables directos, mediatos e inmediatos pueden dar prueba fehaciente de ello.

Haddamin Moulud Said.
 09.01.13
ibnuabirabiaa[at]yahoo.es

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8.1.13

HADAMIN,TÚ SÍ QUE VALES

por Said Mahamud

Me he dado cuenta de que hay personas que valen mucho y por los que vale la pena dar la cara y uno de ellos es HADAMIN MOULUD SAID. Un ejemplo de los que continúan y hacen más grande la labor de quienes dan la vida por ayudar desinteresadamente a los demás. Es generoso y solidario, amigo de sus amigos y sobre todo luchador incansable por la causa saharaui.

En diciembre de 1993, ayudaste a un grupo de jóvenes saharauis en la estación de autobuses de Alicante que venían a continuar sus estudios en España y que el ministerio de educación saharaui los dejó tirados. Con tus propios medios acogiste a esos jóvenes despistados durante tres largos meses con alojamiento en pensión completa gastando las pocas perras que tenías entonces.
Afortunadamente, yo era miembro de estos jóvenes que sin duda estamos muy agradecidos al Frente Polisario por darnos la oportunidad de estudiar y como no, agradecidos a Hadamin por su gran ayuda. Tu labor por la causa saharaui es indiscutible, porque estás en todas las batallas a nivel de España y compartes tus conocimientos con todas las personas que lo desean. Tus críticas han enfadado a muchos, pero a muchos nos encanta escucharlas, porque las haces con conocimientos y muchas veces van dirigidas a las personas que hacen daño a la causa saharaui entre ellos los políticos vagos que dirigen nuestras instituciones.

He leído detenidamente la carta de Sahara Hernandez, persona amiga de los saharauis y muy amiga del dirigente Mohamed Sidati que respeto profundamente y sí discrepo de la forma en que ha intentado darnos a conocer lo valioso que es Mohamed Sidati y lo escaso es Hadamin. Mohamed Sidati es una persona destacada en la política saharaui y su deber es trabajar duro por el bien de los saharauis , su cargo le exige ir detrás de todos los parlamentarios que hagan falta para reconocer la lucha del pueblo saharaui y conseguir la ayuda necesaria para los campamentos de refugiados, para eso lleva la tira de años desempeñando ese papel. Me sorprende que pidas que Hadamin se disculpa por su artículo “Mohamed Sidati se inventa un Relator Especial europeo sobre los DD.HH” si en tu artículo has criticado duramente a Hadamin y nos has hecho ver que es la persona más enemiga de los saharauis.

Decirte Sahara Hernández, que Hadamin está haciendo mucho por la causa saharaui y que es una persona con principios claros. Está agradecido al Frente Polisario por darle la oportunidad de estudiar y que rechaza ser miembro del cuerpo diplomático porque es imposible trabajar con la actual dirección del Frente POLISARIO, en las condiciones actuales, opinión que han expresado muchos jóvenes que creen en el trabajo digno y transparente. Creo sinceramente que te han dicho lo que tienes que decir y los pocos conocimientos que tienes de Hadamin te lo han dictado personas que quieren revancha y no tienen el valor de expresarse ellos mismos como lo hacemos todos en este querido foro.

Said Mahamud
08/01/2013
said.mahamud[at]yahoo.es

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Carta para ARSO

por Sahara Hernández

Estimados Compañeros de Arso,

Antes que todos quiero agradecerLes por su importante trabajo a favor del Pueblo Saharaui.
En estos largos años de dura lucha del Pueblo Saharaui, reivendicando su libertad con orgullo y dignidad y de espera de una solución del conflicto que ponga fin a los sufrimientos que padece, he visto muchos cambios y no todos positivos.

Por eso valoro mucho el espacio que ARSO dedica tanto a la amplia y puntual información sobre la agenda politica del conflicto del Sáhara Occidental, cuanto a las libres opiniones, que muchas veces nos dan un enfoque menos oficial de la situación en el terreno y que sobretodo permiten a muchos saharauis de expresarse en primera persona en una tribuna de nivel internacional.

Dicho esto, me diirijo a Ustedes pidiendo que se publique esa carta para que se aclare lo que escribió el señor Haddam Moulud Said en su articulo del 26/12/2012, lleno de ofensas e insultos personales hacia el compañero Mohamed Uld Sidati que, como muchos otros saharauis - dirigentes y no - lleva 40 años de su vida luchando activamente por la causa del Pueblo Saharaui y por la independencia del Sáhara Occidental. (VEASE EL ARTICULO EN OPINIONES, REVISTA FUTURO SAHARAUI, ETC.)

También pido que el señor Haddamin Moulud Said se disculpe por los ataques personales que caracterizan este articulo como muchos otros de los suyos, que nada aportan a la Causa del Pueblo Saharaui, a la cual hasta ahora él - a diferencia de otros - no dió ninguna contribución personal.
La noticia de la cual habla el señor Haddamin Moulud Said se refiere al nombramiento por parte del Parlamento Europeo del eurodiputado britanico Charles Tannock como Relator Especial por los Derechos Humanos en el Sáhara Occidental y Sahel y a la aprobación al Plenario de Diciembre, en el marco del "Informe anual 2011 sobre los derechos humanos y la democracia en el mundo" y la politica europea al respecto, de una enmienda sobre la situación de los derechos humanos en el Sáhara Occidental. El relator Tannock está encarcargado de preparar informes sobre la situación de los derechos humanos, para presentarlos a la subcomisión Derechos Humanos del Parlamento Europeo, a la cual pertenece. (VEASE PARLAMENTO EUROPEO Y TAMBIEN EN EL PAIS DEL 1 DE ENERO EL ARTICULO DE IGNACIO CEMBRERO: MARRUCOS SUFRE VARIOS REVESES EN EL CONFLICTO DEL SAHARA OCCIDENTAL. (Enlaces en la NOTA por ARSO al final del texto) 

En su articulo, el señor Haddamin Moulud Said, entre otras cosas, acusa al Compañero Mohamed Laghdaf Uld Sidati Uld Cheikh Ahmed El Heiba Uld Cheikh Ma Al Ainin de difundir noticias falsas y de desconocer el funcionamiento de las Instituciones Europeas, al mismo nivel de un "parvulo". ''Noticia falsa que solo gozaba de veracidad en la fecunda imaginación del Sr. Uld Sidati''. (Utilizo el nombre completo del Compañero Uld Sidati para demostrar que valoro mucho la intervención del señor Haddamin Moulud Said, del 6 de Enero 2013, en la cual nos habla del genocidio cultural en el Sáhara Occidental, haciendo hincapié sobre la amputación a la cual están sometidos los nombres del los Saharauis que viven bajo ocupación marroquí. A pesar que creo que en los Territorios Ocupados haya problemas más graves de lo de los nombres, me parece que esta costumbre, tal vez por otras razones, se extendió también a los campamento de refugiados, aunque ahí se cultive más la memoria y naturalmente la identidad nacional).

Volviendo al tema del articulo del señor Haddamin Moulud Said del 26/12/2012, la pregunta, en este caso, es: quién fabrica noticias falsas y con cuál objetivo?

No cuestiono el derecho de cada uno a criticar o discrepar sobre la politica ejercida por la clase dirigente de su propio País, sobretodo tratandose de un conflicto que lleva muchos años estancado, de un Territorio Ocupado y violado y de un Movimiento de Liberación que hasta ahora no logró su objetivo principal. Faltaría más! Pero creo que las criticas que en este caso el señor Haddamin Moulud Said dirige al Compañero Mohamed Uld Sidati son injustas y muy groseras.
Además, la cosa más grave es que el autor del articulo afirma que ese tipo de noticias están ''fabricadas por la propaganda marroquí'' y nos empuja a la deducción que de hecho solo sirven a la causa del enemigo, pués los mismos medios de información saharauis cayeron en la trampa.

Acaso el señor Haddamin Moulud Said está insinuando algo que no se atreve a decir claramente?

Hubiese sido más interesante si el señor Haddamin Moulud Said hubiera criticado correctamente la ineficacia de la acción politico-diplomatica de este u otro dirigente del Frente Polisario, sugeriendo él mismo una nueva linea para conseguir el apoyo a la Causa, en este caso, de las Instituciones Europeas y en especial modo del Parlamento de Estrasburgo, que me imagino él conozca solo en fotografia.

Tal vez olvida que, gracias al trabajo paciente, incesante y, algunas veces, solitario del Compañero Responsable del Polisario por Europa, el Europarlamento lleva años apoyando una solución justa para el conflicto del Sáhara Occidental en el marco de las resoluciones de las Naciones Unidas; o que la Comisión Europea cada año destina un presupuesto para la ayuda humanitaria a los refugiados saharauis en los Campamentos de Tinduf. A pesar que solo es un grano de arena en la inmensidad del desierto. O agua que no quita la sed de libertad.

Ustedes me podrán decir que Europa no hace lo suficiente por la cuestión del Sáhara y que la batalla no se gana ahí.
Estoy totalmente de acuerdo. Pero si en el corazón de Europa y a su más alto nivel se escucha la voz del Pueblo Saharaui es através de la boca del Compañero Mohamed Uld Sidati.

Parece que el señor Haddamin Moulud Said no se percate de la dimensión epica de la batalla que libra su mismo Pueblo, no solo en contra de Marruécos, sino de interéses geoestrategicos de grandes Potencias, que hasta ahora no permitieron al Pueblo Saharaui de ejercer su derecho a la libre Autodeterminación.
Parece que la falta de la solución del conflicto se tenga que atribuir solo a la incompetencia de ciertos dirigentes del Polisario - que según mi tienen su propia parte de responsabilidad - y no también a una combinación de factores historicos, politicos, geograficos, apetitos por los recursos naturales del Territorio, así como al factor numerico de un Pueblo, valiente pero tan exiguo numericamente, que a pesar de protagonizar un conflicto largo y doloroso pero de baja intensidad, desgraciadamente no puede contar con el interés de los medios de información, con grandes titulares o primeras páginas.

Estoy convencida de la necesidad de renovar en cierta medida la dirigencia del Polisario y que un cambio generacional inyectaría nuevas fuerzas a la lucha. Pero no se puede pensar de despilfarrar el patrimonio de experiencias politicas que algunos compañeros acumularon en estos años y echarlo simplemente a la basura, insultando el trabajo serio y concienzudo que caracteriza desde siempre el compromiso de muchos Compañeros y entre ellos Mohamed Uld Sidati, atacado injustamente por el señor Haddamin Moulud de tener la necesidad de hacerse publicidad hasta con falsas noticias, mientras es conocido como una persona que no busca protagonismo, aunque su historia personal y familiar viene desde lejos. Tal vez Haddamin lo olvida.

Pienso que el señor Haddamin Moulud Said no sabe lo difícil que es para el Ministro Agregado, - como lo llama él -, correr por los pasillos del Parlamento Europeo detrás de los Eurodiputados, metidos en asuntos de más grande importancia, rogando para lograr un minuto de su preciosa atención con el objetivo de ponerles al tanto de los desarrollos (estancamiento) de la situación y conseguir ayuda y apoyo, para que la Causa de ese noble Pueblo no caiga en el olvido.

Es muy facil criticar cuando uno no se encuentra en la primera linea de la batalla, aunque solo se trate de un frente diplomatico y no de una trinchera cavada en la arena. Sobretodo cuando a atacarte es fuego amigo!!!!
Lo triste aquí es que quién ataca no es el enemigo marroquí sino un mismisimo saharaui que, con sus elucubraciónes, solo intenta sembrar la desconfianza hacia una persona que cumple con su trabajo entre un montón de obstáculos y dificultades. Pero esto no es ninguna novedad y sabemos que es su metodo habitual: criticar sin proponer alternativas, hablar por hablar, hablar para denigrar.

Acaso el señor Haddamin Moulud Said combatió alguna batalla además de las charlas con las cuales nos deleita frecuentemente en sus libres opiniones?

Acaso el señor Haddamin Moulud Said eligió a los 20 años de edad el camino del exílio, sacrificando (como muchos otros saharauis) familia y todo?

Acaso el señor Haddamin Moulud Said participó en Bir Lehlu a la fundación de la República Árabe Saharaui Democratica, aquella fría noche del 27 de febrero de 1976?

Acaso el señor Haddamin Moulud Said fue elegido dirigente por algún Congreso del Polisario o alguna vez trabajó seriamente por las Instituciones de la RASD?

Según lo que me consta, el señor Haddamin Moulud Said cursó sus estudios en Cuba, país con el cual la RASD tiene fuertes relaciones de solidaridad y amistad y donde se formaron y licenciaron cientos de jóvenes saharauis. Tiene Licencia en Derecho. Al regreso de Cuba al comienzo de los años '90, gracias al Polisario logró una beca para seguir sus estudios en España, donde actualmente ejerce de abogado.
Pienso que el señor Haddamin Moulud Said debería estar muy agradecido al Frente Polisario, a la RASD y a sus dirigentes que, en lugar de engrosar las filas del Ejercito Popular de Liberación con niños soldados, como pasa en casi todos los conflictos africanos, en todos esto años dieron la posibilidad a los jovenes saharauis de estudiar, formarse y conseguir un titulo que, tarde o temprano, les abrirá las puertas de la vida. Así como las abrió a él mismo dándole la oportunidad de ser abogado.
Pero, después de beneficiar de la posibilidad que le otorgó el Polisario de estudiar y conseguir una licencia, el señor Haddamin Moulud Said se dió el lujo de rechazar el cargo de adjunto en un prestigioso país de America Latina - Brásil - pensando que no era a la altura de sus aspiraciónes y, decepcionando a cuantos habían invertido en él y en su formación, prefirió quederse en España ejerciendo de leguleyo y inhundandonos con sus libres opiniones, que por cierto serán libres pero no acertadas.

No soy un abogado como lo es el señor Haddamin Moulud Said. Además el Compañero Mohamed Uld Sidati no necesita abogados que defiendan su trayectoria politica. Pero personalmente no pude no indignarme leyendo la manera con la cual el susodicho señor ataca a uno de los mejores dirigentes de su Pueblo, con un largo curriculum cultural y politico-diplomatico.

Por eso quiero aclarar algunos puntos gracias la ayuda de unos datos recogidos por Tony Hodges en su Historical Dictonary of Western Sahara, editado en 1982 (y 1994) por THE SCARECROW PRESS, INC. Metuchen, N.J., & London, que adjunto a esa carta, rogando que se publiquen.
1) Al señor Haddamin Moulud Said, que ironicamente se pregunta ''en qué ciencia es doctor Uld Sidati'', al cual ''le gusta hacerse llamar Doctor'', explico que al Compañero Mohamed Uld Sidati es Doctor a pleno titulo: licenciado en Economía en la Universidad Mohammed V de Rabat y posteriormente Doctorado en la Universidad de Grenoble, en los lejanos años ‘70.
El señor Haddamin olvida también que, como nos cuenta Tony Hodges, el Compañero Mohamed Uld Sidati, junto a Luali Mustafa Sayed y otros compañeros, fue uno de los primeros estudiantes saharauis que, en esa misma Universidad a comienzos de los años ‘70, animaron el embrional movimiento por la Liberación del Sáhara, y por eso fue encarcelado. ESTO ES HISTORIA, LA HISTORIA DEL PUEBLO SAHARAUI.

2) El señor Haddamin olvida que entre los más altos dirigentes del Frente Polisario, cada uno con su peculiaridad y experiencia, nadie conoce las Instituciones Europeas mejor que el Compañero Mohamed Uld Sidati, que goza de estima y cariño a nivel internacional, gracias al trabajo generoso que desarrolló durante estos años.

3) No estoy hablando de un héroe sino de un hombre, que también tiene defectos, pero que sigue coherente con su compromiso moral hacia el Pueblo Saharaui. El Compañero Mohamed Uld Sidati tiene bastante honradez politica y diplomatica para no difundir noticias falsas, además no está acostrumbrado a lucirse por el DEBER que cumple ni a regatear el precio de su trabajo, que desarrolla con pasión y abnegación a pesar de sus precarias condiciones de salud.

Como dicen unos versos del poeta cubano José Martí: "El hijo de un Pueblo esclavo vive por él, calla y muere''.

La credibilidad en politica, y no solo en politica sino a todos los niveles, lo es todo y no es correcto atacar a una persona que no hizo nada más que cumplir siempre de manera honrada su trabajo y la misión que le confió su mismo Pueblo.

No quiero robar más tiempos a los lectores cuando ARSO publique mi libre opinión, con la petición urgente que el señor Haddamin Moulud Said rectifique SUS FALSAS INFORMACIONES, SUS INSINUACIONES Y SUS INFAMIAS. Y sobretodo que se disculpe con el Compañero MOHAMED ULD SIDATI, por unos insultos que no se merece ni desde el punto de vista politico ni personal.

Agradezco a los Compañeros de ARSO por su disponibilidad y a cuantos han tenido la paciencia de leerme y deseo al Pueblo Saharaui y a todos sus amigos un 2013 de Paz.

Atentamente.

Sahara Hernández
07.01.13
saharaenelcorazon61[at]gmail.com

(Nota por ARSO: 
a) el enlace en la web de la UE con la lista de los textos adoptados en el PE 13.12.12
b) el enlace en El Pais de la version "modificada"del articulo actualmente online - vease tambien la version original publicada en El Pais del 1.1.13  en Noticias de la Gomera.)
 
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6.1.13

Genocidio cultural en el Sahara Occidental

por Haddamin Moulud Said

Todo pueblo, toda cultura y todo Estado tienen una forma, más o menos, determinada para nombrar y ‘apellidar’ a los miembros de ese pueblo. La forma en que cada cultura ha regulado el modo con que se dan nombres a las personas, constituye un sello de identificación de esa cultura.
Si Usted entra en Internet y, para rellenar un formulario, le piden el ‘first name’ ‘middlename’ ‘last name’, tenga por seguro que el autor del formulario no pertenece a la cultura hispana. Si, por el contrario, en el formulario, sólo le exigen los campos del nombre y los dos apellidos, puede respirar tranquilo, porque ese formulario está adaptado a su cultura hispana.
En el Sahara Occidental, siguiendo una genuina costumbre árabe anterior, incluso, al Islam, tenemos por costumbre dar un nombre al nacido, añadirle el nombre de su padre y, después, adicionarle el nombre del abuelo paterno. Este es el sistema con que, en la cultura saharaui, se nombra a las personas. Es decir, el nombre completo, viene constituido por el nombre del nacido, el del padre y el del abuelo. Este sistema no es exclusivo del Sahara Occidental. Es el sistema que se emplea en todo lo que se conoce con el nombre de cultura Bidhan, cuyos lindes van desde el río Senegal, en el Sur, hasta wed Nun, en el Norte y el río Níger en el Este.
La larga colonización española no ha alterado ese sistema vigente en el Sahara Occidental. La administración colonial ha adaptado ese sistema tricompuesto al sistema español de un nombre y dos apellidos. De tal suerte que, por ejemplo, los procuradores saharauis en las Cortes de Franco, se llamaban, por citar un ejemplo, Jatri Uld Said uld Jumani. El ‘uld’ es, literalmente, hijo de. En los registros civiles, en los documentos de identidad y en todos los demás documentos legales, España, había respetado ese sistema tricompuesto.
En Marruecos, por el contrario, se emplea un sistema en el que sólo hay dos campos, el del nombre (que puede ser simple o compuesto) y el del apellido (uno sólo).
Cuando, en 1975, Marruecos invade y se anexiona el Sahara Occidental, es consciente de que el pueblo que habita dicho territorio tiene un hecho diferencia importante: la cultura. Por tanto, Marruecos, no sólo se embarca en una operación militar de gran envergadura, sino que, además, se embarca en una auténtica guerra de eliminación de toda una cultura. Y para barrer cualquier elemento diferencial entre el pueblo saharaui y el marroquí, nada mejor que empezar por lo más básico: el nombre de las personas.
Al mismo tiempo que el ejército marroquí ocupaba los cuarteles que venía ocupando la legión española, los funcionarios civiles de Marruecos, entraban casa por casa para registrar a la población. Y en ese registro, cambiaron los nombres todo un pueblo para asimilarlo, en lo más íntimo de su ser, a la cultura marroquí. La magnitud de semejante violación de derechos no tiene parangón en la historia. Sin embargo, es casi desconocida.
Así, todos los saharauis que viven fuera de las Zonas Ocupadas por Marruecos, tienen un nombre tricompuesto. En cambio, los que viven bajo la ocupación marroquí, tienen, desde 1975, un nombre con sólo dos campos.
Más aún, durante los años de la ocupación mauritana de la mitad sur del territorio, la población saharauai que vivía bajo la administración mauritana, conservó el sistema del nombre tricompuesto, porque en Mauritania se emplea el mismo sistema. Pero toda vez que esa mitad, pasó a ser controlada por Marruecos, sus habitantes, tuvieron que pasar, nuevamente, por ventanilla para cambiar de nombre y, así, ser asimilados por la cultura marroquí.
Y cómo procedió Marruecos a sustituir el sistema tricompuesto, entonces vigente, por el sistema de un solo apellido? ¿Impuso el nombre del padre como si fuera un apellido?¿Optó por el del abuelo?
Nada de eso. Amparados por la fuerza de su ocupación, los funcionarios marroquíes, impusieron lo que quisieron a una población amordazada por la fuerza de su represión. En la presentación del Informe “Oasis de la Memoria”, Carlos Martín Beristain, estaba acompañado por dos ilustres activistas pro derechos humanos. ¿Cómo se llaman ambas activistas?
Los documentos que, en la actualidad, las identifican ponen: Aminetou Haidar, la una y, Galia Djimi, la otra. Sin embargo, ambas nacieron (el Sahara aún era español) y crecieron con estos otros nombres y apellidos: Minetu Ali Ahmed y Algalia Abdalahi Mohamed. Y así, es como deben figurar en el censo saharaui obrante en poder de la ONU. Ni qué decir, del galardonado por el Premio Rafto que concede la Fundación Noruega para los derechos humanos. El premio Rafto lo ha recibido un tal Sidi Mohamed Dadach. Sin embargo, ese hombre nació, creció y combatió a las tropas marroquíes como guerrillero del Polisario hasta caer como prisionero de guerra, con este otro nombre; Mohamed Sidi Mohamed Salem Emhamed. Ente este caso, la actitud del Polisario adquiere tintes verdaderamente dramáticos, puesto que se han olvidado de su nombre auténtico y lo llaman con el nombre que le ha impuesto Marruecos. Y es dramática porque esa forma de llamar a Sidi Mohamed quizás ofende a estos dos hombres: Mohamed Mohamed Salem Emhamed, alias Horma, y Mahamud Mohamed Salem Emhamed, ambos hermanos de Sidi Mohamed, el primero cayó mártir por esta Justa Causa, allá por 1978 y el otro, también, cayó mártir en pleno fragor de la ‘Ofensiva del Magreb Árabe’, allá por 1984.
Y no bastándole con eso, Marruecos, se ha adueñados, esta vez para uso privativo de la familia real, de ciertos nombres que eran muy comunes en el Sahara Occidental. La actual ley del registro civil marroquí, aplicable por la fuerza en el Sahara Occidental, impide a los padres saharaui dar, a sus hijos, estos nombres: Mulay, Sidi y Lal-la. Lo impide porque sólo los miembros de la familia real pueden ostentar esos nombres. Cuando, en el Sahara y, también, en Mauritania, tales nombres son muy comunes y corrientes.
Cómo conviven los saharauis con semejante atropello a su personalidad individual y colectiva? Llevando la cruz. Es decir, están obligados a llevar, en vida, una cruz y esperar, hasta después de la muerte, para poder lucir sus bellos nombres. En las Zonas Ocupadas del Sahara Occidental, la población espera hasta el momento de la muerte de sus seres queridos para, entonces, colocar, en las lápidas, sus auténticos y genuinos nombres tricompuestos. ¿Hasta cuándo seguirá la Humanidad permitiendo semejante martirio?
Doy por hecho que el Dr. Carlos Martín Beristain aún conserva el alma de psicólogo y, por tanto, sabe muy bien la importancia del impacto de una cuestión como ésta, no sólo en el desarrollo de la personalidad del individuo, sino en la cultura de todo un pueblo. Por eso, estoy convencido que el Doctor Carlos Martín Beristain no tardará en hincarle el diente a tan delicada cuestión.

Haddamin Moulud Said.
06.01.13
ibnuabirabiaa[at]yahoo.es

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