por Emmhamed AlGhasi
Todo pais es soberano en decidir sobre quien debe entrar en su territorio. El caso de la embajadora saharaui Jadiyetu Mokhtar, fue una postura de las autoridades peruanas instigada por el lobby marroqui en ese pais. La diplomacia marroqui centra su mayor tarea a nivel internacional, en buscar apoyos para continuar su ocupacion al territorio de los Saharauis, el Sáhara Occidental. Los representantes de esa dictadura hacen labores propios de los servicios secretos, violando las reglas del derecho diplomatico, de cortesia y protocolarias; consistentes en espiar, sobornar, presionar a los amigos de los saharauis, todo ello con el unico objetivo de evitar la presencia de los diplomaticos saharauis en el pais donde estan acreditados, o su asistencia a eventos politicos, sociales o diplomaticos, como es el caso de la embajadora en Mision al Peru Jadiyetu Mokhtar.
El Frente Polisario desde su reconocimiento por parte de las NNUU en 1975, como unico representante legitimo del pueblo saharaui, sus delegados y representantes estan acreditados en muchos paises incluidos los propios aliados de Marruecos, como EEUU, Francia, España, o la misma Union Europea, pero tambien en paises amigos como Cuba, Mexico, Nicaragua, Venezuela, Ecuador, Brasil y otros . Los saharauis son un Movimiento y pais respetados por todo el mundo, salvo Marruecos claro esta, por que respetan las normas del derecho internacional y se esfuerzan en continuar su lucha por los medios pacificos, apesar de las provocaciones del reino de Marruecos.
La exembajadora marroqui en Peru, Oumama Aouad ( del 2008 al 2016 ), fue la artificie de la creacion de toda una trama de maniobras, espionaje, sobornos, presiones, en territorio peruano con el fin de contrarrestar la diplomacia de la Republica Saharaui en ese pais hermano. El actual embajador no hace mas que seguir sus pasos, Oumama Aouad, tuvo que ser destituida debido a que fue destapada su trama y actividades subversivas por el hacker Chris Coleman.
He aqui informaciones detalladas publicadas por El Sr R. Sanchez Serra, activista y notorio intelectual amigo del pueblo saharaui, sobre esas actividades subversivas, de coaccion y soborno en Peru :
http://piensachile.com/2015/05/la-imperial-embajadora-de-marruecos-en-peru-y-sus-maniobras-intervencionistas/
Marruecos es un Estado dominado por la casa real y sus lacayos
La monarquía alimenta un sistema de clientelismo y corrupción en favor de una minoría de familias que se aprovechan de su control sobre la maquinaria del Estado para aumentar sus fortunas. Tratan de adaptarse al contexto de las transformaciones neoliberales para expandir su monopolio. Las otras capas de la burguesía se someten a este favoritismo en favor del clan real y sus asociados, que les abruma. En el plano político, sus iniciativas son muy débiles y están históricamente vinculadas a la monarquía como garante de la estabilidad política para garantizar su participación en las ganancias ante la amenaza de una explosión social violenta. La ira de algunas capas pequeño burguesas que proliferan especialmente en el sector informal tiene su expresión en el fundamentalismo islámico, con variantes que se oponen radicalmente a la monarquía.
El pais hermano de Peru, es libre en elegir sus amigos y aliados, pero los pueblos y paises de Iberoamerica conocen mejor que nadie las dictaduras, sus juegos oportunistas, maniobras y otros males con el fin de mantener sus intereses derramando sangre de pueblos enteros, robando sus riquezas y castigando colectivamente e esos pueblos por medio de infinitas medidas represivas que abarcan la cultura, derechos politicos, civiles y sociales etc.. La monarquia marroqui ejerce esos tipos de represion e injusticias contra el pueblo saharaui desde que invadio su territorio en 1975 hasta hoy dia. Peru como pais democratico y aspiraciones de gran envergadura, no deberia dejarse engañar por un puñado de personas „compradas“ por la embajada marroqui en Lima.
LLAMAMIENTO A LAS AUTORIDADES PERUANAS
Los Saharauis, nos sentimos muy ligados a los pueblos iberoamericanos por los lazos culturales e historicos; pero tambien compartimos con ellos los ideales de la justica, la democracia y la amistad entre los pueblos y paises, por ello, llamamos a las autoridades peruanas a facilitar a nuestra embajadora, Jadiyetu Mokhtar la entrada para que pudiera cumplir con su cometido, consistente en estrechar lazos de amistad y culturales entre el pueblo saharaui y el peruano.
Emmhamed AlGhasi, activista por los Derechos Humanos de los Saharauis, residente en Suiza.
alghasi1973[at]gmail.com
15.09.17
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Este texto expresa la opinion del autor y no de los moderadores del foro.
15.9.17
9.9.17
PAR SA DOMESTICITÉ AU PROCESSUS ONUSION, LE POLISARIO À PALESTINISÉ LA CAUSE DU PEUPLE SAHRAOUI!
par Maître Takioullah Eidda
Au 26ième anniversaire du cessez- le -feu, sensé permettre l'organisation d'un référendum d'autodétermination, force est de constater que la question du Sahara Occidental n'a pas avancé d'un iota. Or, de fait, ce qui n'avance pas recule et le conflit, à l'instar de celui de la Palestine, est en état de blocage hermétique sur tous les plans.
D'abord, la Mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au Sahara occidental (MINURSO) n'existe que par le nom: son personnel civil fut expulsé par le Maroc le 20 mars 2016 et celui-ci persiste dans son refus du retour des membres expulsés, et ce, malgré la résolution 2285 votée en avril 2016 par le Conseil de sécurité. Seulement 25 éléments sur 83 auraient semble t-il regagné leurs postes à Laayoun.
Ensuite, le Maroc a catégoriquement refusé de recevoir l'envoyé spécial du SG de l'ONU, Mr Christopher ROSS, dans le cadre de sa mission de rapprochement entre les parties au conflit.
Il est allé même plus loin, en récusant Mr ROSS et en lui a interdisant de se rendre dans les territoires occupés du Sahara Occidental, attitude méprisante qui a forcé l’émissaire à jeter son tablier, dans une quasi indifférence de tout en chacun.
Puis, après quelques brouhahas et d'excellentes prestations sur la scène du théâtre d'EL'GUERGARET, le Polisario a rapidement plié bagages devant la promesse de l'ONU de nommer un tout nouveau envoyé spécial et de relacer les pourparlers. Peine perdue!
Oui, l'ex-Président allemand a été nommé à la place de ROSS, après plusieurs manœuvres dilatoires de la part du Maroc, mais au final, il ne fut «envoyé» que chez-lui jusqu'à nouvel ordre, lequel n'est certainement pas pour demain! Même pas un « Salamou Aleikoum », ni prise se contact. Rien ! Absolument rien !
Pendant ce temps, un exode sans précédent des jeunes sahraouis, refusant l'état de désœuvrement dans lequel le Polisario les a placé dans les camps de réfugiés en Algérie.
Si bien que plusieurs aéroports et camps de détentions préventifs en Europe sont devenus les points de chute de ces misérables laissés pour compte.
À qui peut-on imputer la responsabilité de ce drame sans fin? À l'ONU? Au Maroc? À la France? À l'Algérie? Pour le Polisario c'est la faute collective de tous ces acteurs et singulièrement de chacun d'eux!
Mais, objectivement et nationalement parlant, c'est le leadership du F.Polisario qui est le seul et unique responsable, devant le peuple sahraoui et devant l'Histoire, de ce «cul-de-sac»!
Car, c'est à lui, et seulement à lui, que revient la responsabilité des conséquences liées à ses choix désastreux, lesquels ont amené le peuple sahraoui à cet impasse, lequel est devenu, jour après jour, quasi-infranchissable.
Maître Takioullah Eidda,
avocat Montréal, Canada
09.09.17
eidda.avocat[at]eidda.ca
-------------- Ce texte exprime l'opinion de l'auteur et n'engage pas les modérateurs du forum.
Au 26ième anniversaire du cessez- le -feu, sensé permettre l'organisation d'un référendum d'autodétermination, force est de constater que la question du Sahara Occidental n'a pas avancé d'un iota. Or, de fait, ce qui n'avance pas recule et le conflit, à l'instar de celui de la Palestine, est en état de blocage hermétique sur tous les plans.
D'abord, la Mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au Sahara occidental (MINURSO) n'existe que par le nom: son personnel civil fut expulsé par le Maroc le 20 mars 2016 et celui-ci persiste dans son refus du retour des membres expulsés, et ce, malgré la résolution 2285 votée en avril 2016 par le Conseil de sécurité. Seulement 25 éléments sur 83 auraient semble t-il regagné leurs postes à Laayoun.
Ensuite, le Maroc a catégoriquement refusé de recevoir l'envoyé spécial du SG de l'ONU, Mr Christopher ROSS, dans le cadre de sa mission de rapprochement entre les parties au conflit.
Il est allé même plus loin, en récusant Mr ROSS et en lui a interdisant de se rendre dans les territoires occupés du Sahara Occidental, attitude méprisante qui a forcé l’émissaire à jeter son tablier, dans une quasi indifférence de tout en chacun.
Puis, après quelques brouhahas et d'excellentes prestations sur la scène du théâtre d'EL'GUERGARET, le Polisario a rapidement plié bagages devant la promesse de l'ONU de nommer un tout nouveau envoyé spécial et de relacer les pourparlers. Peine perdue!
Oui, l'ex-Président allemand a été nommé à la place de ROSS, après plusieurs manœuvres dilatoires de la part du Maroc, mais au final, il ne fut «envoyé» que chez-lui jusqu'à nouvel ordre, lequel n'est certainement pas pour demain! Même pas un « Salamou Aleikoum », ni prise se contact. Rien ! Absolument rien !
Pendant ce temps, un exode sans précédent des jeunes sahraouis, refusant l'état de désœuvrement dans lequel le Polisario les a placé dans les camps de réfugiés en Algérie.
Si bien que plusieurs aéroports et camps de détentions préventifs en Europe sont devenus les points de chute de ces misérables laissés pour compte.
À qui peut-on imputer la responsabilité de ce drame sans fin? À l'ONU? Au Maroc? À la France? À l'Algérie? Pour le Polisario c'est la faute collective de tous ces acteurs et singulièrement de chacun d'eux!
Mais, objectivement et nationalement parlant, c'est le leadership du F.Polisario qui est le seul et unique responsable, devant le peuple sahraoui et devant l'Histoire, de ce «cul-de-sac»!
Car, c'est à lui, et seulement à lui, que revient la responsabilité des conséquences liées à ses choix désastreux, lesquels ont amené le peuple sahraoui à cet impasse, lequel est devenu, jour après jour, quasi-infranchissable.
Maître Takioullah Eidda,
avocat Montréal, Canada
09.09.17
eidda.avocat[at]eidda.ca
-------------- Ce texte exprime l'opinion de l'auteur et n'engage pas les modérateurs du forum.
PAR SA DOMESTICITÉ AU PROCESSUS ONUSION, LE POLISARIO À PALESTINISÉ LA CAUSE DU PEUPLE SAHRAOUI!
6.9.17
Otra actitud
por Limam Boisha
¿Cómo se podría definir el estado de ánimo de un pueblo? De uno, por ejemplo, que lleva más de cuarenta bajo la ocupación o en la diáspora. Un pueblo que ha sufrido invasiones militares, éxodo, dieciséis años de guerra y una condena de destierro temporal, que de tan larga ya parece perpetua.
Durante los primeros años del exilio hubo una visión positiva del exilio, en la medida en que el pueblo saharaui de manera decidida y valiente,eligió, partiendo de la nada, luchar y edificar las bases de un futuro estado moderno.Y lo hizo en educación, en sanidad, en cultura,entre otras esferas. Por supuesto, cometió muchos errores, pero la voluntad de todos y todas era trabajar con esfuerzo y tesón en eras de ser un pueblo socialmente más igualitario y libre.
¿Qué ha pasado para pasar de ser un pueblo orgulloso, rebelde, trabajador, responsable, optimista, creativo, a convertirnos en un pueblo apático, conformista, pesimista y sobre todo materialista?¿Por qué a muchos de nosotros ya no nos conmueve el sufrimiento diario de nuestra población en las zonas ocupadas y en el exilio de la Hamada?Estamos más pendientes de cómo ganar dinero, tener coche, construir una casa fastuosa, que de ayudar a nuestros compatriotas,a pesar de que muchos de ellos están viviendo una vida dura y llena de las carencias más elementales.
Lo peor es esa impotencia, ese desánimo que nos correo como una enfermedad contagiosa. Si no nos sacudimos ese “polvo condenatorio” que nos asfixia y comenzamos a luchar estamos perdidos.
Para construir el estado saharaui hace falta otra actitud. Debemos fomentarla en nuestras casas, en nuestras jaimas, en las escuelas, en cualquier lugar. Tiene que estar en la base de la reivindicación fundamental de nuestro pueblo.
Lo primero que tenemos que hacer es aceptar que en el seno del pueblo saharaui tenemos muchos problemas. Y cada vez surgen más. Tenemos gravísimas deficiencias en la educación y la sanidad, en parte por la falta de recursos, y en parte por falta de planificación. La desigualdad social, la corrupción, el tribalismo son cada vez más patentes.
Otra cuestión es la emigración y en especial, la fuga de cerebros, que ha sido y sigue siendo una sangría. Las personas más cualificadas, al no encontrar ningún estímulo para trabajar en los campamentos de refugiados y sobre todo, al no ser valoradas sus capacidades profesionales, deciden “buscarse la vida”. Más bien, han sido marginados y ninguneados y la mayoría ha elegido emigrar.
El gobierno saharaui, en cuanto que nuestro legítimo representante, tiene el deber y la obligación de trabajar para mejorar la vida de la gente y de atender estos problemas y darles solución, sino nuestra Causa corre el riesgo de diluirse.
Por supuesto, que cada uno de nosotros tiene un proyecto de vida personal y tiene todo el derecho del mundo de luchar por materializarlo. Pero no es menos cierto que nuestro proyecto colectivo es parte fundamental de nuestro proyecto individual, y los dos están íntimamente relacionados. Uno no está desvinculado del otro. Porque como personas y como pueblo queremos vivir en nuestra tierra de manera digna y en paz. Y tenemos que hacer algo
El levantamiento de nuestros compatriotas en Gdeim Iziken noviembre de 2010 nos dio una lección, que no podemos ni debemos olvidar. Levantar un campamento a las afueras del Aaiún fue una idea colectiva y sobre todo una idea creativa. Ahora es más grave para el régimen marroquí levantar una jaima que protestar frente al muro de la ocupación. Pues levantemos nuestras jaimas de manera real o metafóricamente donde quiera que estemos.
Para construir el estado saharaui se precisa otra actitud. Que se enseñe en las escuelas, que esté en la base de la reivindicación fundamental del pueblo saharaui a asumir su responsabilidad como pueblo independiente, soberano y responsable.
Decía julio Cortázar que el exiliado no puede hundirse en la tristeza y la nostalgia, que tiene que trabajar, luchar, perfeccionarse, porque el regreso está en su plan de vida.
Y nuestra vida es personal, pero también colectiva. Que por ocuparnos de la primera, no olvidemos la más importante.
Limam Boisha
lboicha[at]gmail.com
06.09.17
-------------- Este texto expresa la opinion del autor y no de los moderadores del foro.
¿Cómo se podría definir el estado de ánimo de un pueblo? De uno, por ejemplo, que lleva más de cuarenta bajo la ocupación o en la diáspora. Un pueblo que ha sufrido invasiones militares, éxodo, dieciséis años de guerra y una condena de destierro temporal, que de tan larga ya parece perpetua.
Durante los primeros años del exilio hubo una visión positiva del exilio, en la medida en que el pueblo saharaui de manera decidida y valiente,eligió, partiendo de la nada, luchar y edificar las bases de un futuro estado moderno.Y lo hizo en educación, en sanidad, en cultura,entre otras esferas. Por supuesto, cometió muchos errores, pero la voluntad de todos y todas era trabajar con esfuerzo y tesón en eras de ser un pueblo socialmente más igualitario y libre.
¿Qué ha pasado para pasar de ser un pueblo orgulloso, rebelde, trabajador, responsable, optimista, creativo, a convertirnos en un pueblo apático, conformista, pesimista y sobre todo materialista?¿Por qué a muchos de nosotros ya no nos conmueve el sufrimiento diario de nuestra población en las zonas ocupadas y en el exilio de la Hamada?Estamos más pendientes de cómo ganar dinero, tener coche, construir una casa fastuosa, que de ayudar a nuestros compatriotas,a pesar de que muchos de ellos están viviendo una vida dura y llena de las carencias más elementales.
Lo peor es esa impotencia, ese desánimo que nos correo como una enfermedad contagiosa. Si no nos sacudimos ese “polvo condenatorio” que nos asfixia y comenzamos a luchar estamos perdidos.
Para construir el estado saharaui hace falta otra actitud. Debemos fomentarla en nuestras casas, en nuestras jaimas, en las escuelas, en cualquier lugar. Tiene que estar en la base de la reivindicación fundamental de nuestro pueblo.
Lo primero que tenemos que hacer es aceptar que en el seno del pueblo saharaui tenemos muchos problemas. Y cada vez surgen más. Tenemos gravísimas deficiencias en la educación y la sanidad, en parte por la falta de recursos, y en parte por falta de planificación. La desigualdad social, la corrupción, el tribalismo son cada vez más patentes.
Otra cuestión es la emigración y en especial, la fuga de cerebros, que ha sido y sigue siendo una sangría. Las personas más cualificadas, al no encontrar ningún estímulo para trabajar en los campamentos de refugiados y sobre todo, al no ser valoradas sus capacidades profesionales, deciden “buscarse la vida”. Más bien, han sido marginados y ninguneados y la mayoría ha elegido emigrar.
El gobierno saharaui, en cuanto que nuestro legítimo representante, tiene el deber y la obligación de trabajar para mejorar la vida de la gente y de atender estos problemas y darles solución, sino nuestra Causa corre el riesgo de diluirse.
Por supuesto, que cada uno de nosotros tiene un proyecto de vida personal y tiene todo el derecho del mundo de luchar por materializarlo. Pero no es menos cierto que nuestro proyecto colectivo es parte fundamental de nuestro proyecto individual, y los dos están íntimamente relacionados. Uno no está desvinculado del otro. Porque como personas y como pueblo queremos vivir en nuestra tierra de manera digna y en paz. Y tenemos que hacer algo
El levantamiento de nuestros compatriotas en Gdeim Iziken noviembre de 2010 nos dio una lección, que no podemos ni debemos olvidar. Levantar un campamento a las afueras del Aaiún fue una idea colectiva y sobre todo una idea creativa. Ahora es más grave para el régimen marroquí levantar una jaima que protestar frente al muro de la ocupación. Pues levantemos nuestras jaimas de manera real o metafóricamente donde quiera que estemos.
Para construir el estado saharaui se precisa otra actitud. Que se enseñe en las escuelas, que esté en la base de la reivindicación fundamental del pueblo saharaui a asumir su responsabilidad como pueblo independiente, soberano y responsable.
Decía julio Cortázar que el exiliado no puede hundirse en la tristeza y la nostalgia, que tiene que trabajar, luchar, perfeccionarse, porque el regreso está en su plan de vida.
Y nuestra vida es personal, pero también colectiva. Que por ocuparnos de la primera, no olvidemos la más importante.
Limam Boisha
lboicha[at]gmail.com
06.09.17
-------------- Este texto expresa la opinion del autor y no de los moderadores del foro.
Otra actitud
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