28.2.12

¿ Por qué tarda la liberación de los cooperantes. ?

por Sid Hamdi Yahdih

Han transcurrido ya más de cuatro meses - un periodo suficiente- sin saber casi nada de la suerte a los cooperantes ( dos españoles y una italiana) secuestrados el pasado octubre en los Campamentos saharauis en Tinduf. Las escasas noticias que podemos saber de la suerte de los rehenes en cuestión se remontan al último congreso popular del Polisario celebrado en Tifariti en el pasado diciembre de año 2011. En aquel congreso el Polisario anunció lo siguiente: la captura de algunos elementos participantes en el secuestro; apuntó claramente a Marruecos como responsable organizador de la operación (Marrueco), y, dijo( el polisario) también que no iba a ahorrar ningún esfuerzo para que los rehenes vuelvan a sus familias y a sus amigos.

Desde entonces hasta ahora no ha ocurrido nada importante que nos da un poco de esperanza que nuestros queridos amigos puedan volver un día a sus suyos.

Ahora veamos lo que podría pasar en este caso:
Para liberar rehenes secuestrados en un desierto vasto hay dos o más métodos a seguir: o recurrir la fuerza y preparar una operación militar para liberarlos o intercambiarlos con otros rehenes en la otra parte o pagar un tipo de rescate: una cantidad dinero. Las dos primeras métodos o maneras son, lógicamente, descartadas.( no hace falta explicarlo). Pues, y para ir al grano, nos queda sólo el rescate: el dinero.

En el caso de otros anteriores secuestros la parte afectada solía ser un país o un estado. Ahora, en el caso de nuestros amigos cooperantes secuestrados, los países afectados son cuatro: el Polisario, Argelia, España y Italia. Algunos de estos cuatros países- España y Italia- están preocupados por la suerte de ciudadanos, mientras los otros- el Polisario y Argelia- están, también, y sin lugares a dudas, más preocupados porque se trata de amigos secuestrados y de fama y seguridad.
Pues, ¿ podemos dudar un instante que estos cuatros partes interesado en la liberación de nuestros amigos secuestrados no tiene dinero suficiente para pagar el rescate en cuestión.? Sí, sin la menor duda, tienen suficiente dinero para pagar dicho rescato en cash, y, claro, estoy muy convencido que los refugiados saharauis pueden vender lo poco que tienen de comida para pagar el rescate.
. ¿ Podemos dudar un instante que estos cuatro países no quieren pagar.? No, no podemos. Los cuatro países tienen prisa de que los rehenes vuelvan lo más rápido a sus familias. En cuanto al Polisario, por un lado, la vuelta rápida de los rehenes a sus familias podría dar tranquilidad a los amigos saharauis que trabajan en los Campamentos y a los que los visitan cada año. Por otro, la liberación de los rehenes podría demostrar el Polisario, en los ojos del mundo, como una fuerza que lucha contra el terrorismo internacional. También eso podría dar golpe duro a la propaganda marroquí que no cese de decir, casi cada día, que el Polisario no es capaz de proteger el territorio bajo su control.
Argelia, también, le interesa, y mucho, la liberación de los rehenes porque es aliado histórico de los saharauis y el secuestro ocurrió en territorio argelino, y es le molesta mucho. En cuanto a España y Italia se trata de ciudadanos y embajadores que trabajan fuera.
Ahora bien, todo el mundo le interesa la liberación rápida de los rehenes y hay dinero, mucho dinero, pues ¿ por qué tardan mucho de ser liberados.? Aquí radica el problema.
El resultado es que la parte secuestradora- Marruecos- se niegue de recibir el rescate, porque, y al contrario del Qaeda, no le hace falta dinero, y prefiere exponer la vida de los rehenes al peligro para alcanzar objetivos políticos.
A mi entender, la parte secuestradora, Marruecos, todavía tiene otros objetivos políticos ocultos del secuestro y sin llegar a dichos objetivos los rehenes no se liberaran. ¿Quiere, por ejemplo, dirigir un mensaje al mundo que ayuda los saharauis para decirle que cualquier rehén secuestrado en los campamentos del polisario no volverá a sus familias?; ¿quiere que las fronteras con Argelia se abran; o quiere demostrar que el Polisario no es capaz de devolver ningún secuestrado a su familia.
SID HAMDI YAHDIH
Sidhamdi[at]yahoo.es
28.02.12

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24.2.12

SAHARA OCCIDENTAL: L'ÉDIFICATION DU MAGHREB ARABE PASSE PAR LE RÈGLEMENT DE CE CONFLIT

par Me Takioullah Eidda

Quelle tristesse d'entendre le Président tunisien, Monsieur Mohamed Moncef Marzouki, un révolutionnaire, combattant de longue haleine pour la liberté de son peuple, dire, en marge de sa visite en Mauritanie, que les droits des peuples ne se valent pas, pour reprendre des termes utilisés ces jours-ci dans l'hexagone. C'est en fait ce que le Président tunisien a déclaré relativement au conflit du Sahara Occidental. Pour lui, ce conflit doit être "mis entre parenthèse" pour construire le Maghreb arabe. Sa proposition consiste à glisser ce problème sous le tapis et passer à la table de la coopération, comme si de rien n'était.
En toute lucidité, aucun dirigeant responsable du Maghreb ne croit qu'une réelle union ne puisse être construite sur des fondements d'argile. Car, le problème du Sahara Occidental est au cœur même du Maghreb et sa condition sine-qua-non. Les pays de cet ensemble doivent lui trouver une solution juste et définitive avant tout autre chose.
Les Nations-Unies ont adopté plusieurs résolutions, demandant aux parties, le Maroc et le F. Polisario, de trouver une solution qui permet au peuple sahraoui d'exercer son droit à l'autodétermination. Je ne les citerais pas ici, tellement elles sont connues de tous. Aussi, l'ensemble de ces résolutions invitent et demandent aux pays de la région du Maghreb d'appuyer les parties et la communauté internationale dans cette démarche de recherche de solution. Les résolutions des Nations-Unies sont claires: il n'est plus question d'indépendance du Sahara Occidental, suivant le désir du F. Polisario, ou d'annexion de celui-ci, suivant la volonté du Maroc, mais plutôt de permettre à la population de ce territoire d'exercer une forme d'autodétermination, qui jouit de l'adhésion des parties belligérantes: le Maroc et le F. Polisario.
C'est donc la créativité, l'imagination et la bonne foi de ces belligérants auxquelles s'en remet la communauté internationale pour mise en œuvre du processus d'autodétermination et, ainsi, répondre aux impératifs de la résolution 1514 de 1960 des Nations-Unies.
Malheureusement, c'est là où le bât blesse. Car, les parties sont tarées d'actions, taries d'idées et, comme si ce n'est pas suffisant, souffrent de cette tare originelle, celle d'être incapables, depuis 1975, d'un côté comme de l'autre, d'imposer unilatéralement une solution au conflit. Et pour cause: l'absence totale de leadership des dirigeants du F. Polisario, n'a d'égale, en fait, que le manque, aussi chronique, de conviction du Maroc dans son plan "d'autonomie" pour le Sahara Occidental.
Le F. Polisario est si dépouillé d'initiative, qu'il se contente aujourd'hui de jouer au tour opérateur, en organisant des "circuits touristiques" aux ONG et aux amis du peuple sahraoui.
Les populations dans les camps de réfugiés, n'en peuvent plus de la passivité des dirigeants du F. Polisario au regard des principes qui ont donné naissance au mouvement du 20 mai 1973. Ces dirigeants sont réduits, en fait, à grignoter les miettes des acquis de l'idée originelle, pour laquelle tant d'hommes et de femmes sahraouis ont donné leurs vies, sacrifiés leur bien-être et bien sûr ceux de leurs enfants. Le plus triste, est que ce soi-disant leadership du F. Polisario essaie, encore aujourd'hui, de persuader un peuple sahraoui, devenu autiste, de l'inévitabilité de son indépendance. Le dernier congrès en est la preuve de cette réalité. Portant, les membres de "l'élite" acclamées lors ce congrès sont en fait ceux-là mêmes qui sont à la tête de ce mouvement depuis 37 ans. Trente sept (37) ans de stratégie vacillante, devenue avec le temps stérile, entre les incertitudes de l'indépendance et la peur de perdre les acquis gagnés sur les étendus arides de l'Ehmada algérien.
Que reste t-il pour le peuple sahraoui à présent? Rien! Assister impuissant à un maraudage ou, dirais-je, à un tournement de vautours autour de sa monture, agonisante, vers la liberté et l'indépendance.
Le Maroc, quant à lui, est loin d'être dans une meilleure posture. Oui, il occupe le Sahara Occidental, mais à quel prix? Élevé selon plusieurs. Sa politique de trente sept (37) ans d'assimilation et de domestication des populations sahraouies est un échec. Les derniers événements de Gdeim-Izik sont là pour nous le rappeler. Sans oublier, en outre, la mobilisation autour de l'imbroglio relatif au retour, au Sahara Occidental, de l'activiste sahraouie Aminetou Haidar, où l'opinion publique nationale et internationale ont forcé le Maroc à faire marche arrière.
Sur le plan de la légitimité de son annexion, aucun pays au Monde, pas un seul, même parmi ses alliés les plus ardents (la France ou l'Arabie Saoudite), ne reconnait sa souveraineté sur ce territoire. Encore moins les Nations-Unies, qui dédaigne encore à lui accorder le statut de puissance administrative.
Certes, le Maroc a lancé l'idée de son "plan d'autonomie" au Sahara Occidental. Mais cette idée n'a jamais été suivie par une volonté de mise en œuvre sous une forme quelconque. Pour rappel, le "plan d'autonomie" du Maroc repose, entre autres, sur l'implantation d'un gouvernement autonome, avec un parlement régional, tous les deux responsables des leviers économiques, politiques, y compris la gestion des ressources du territoire et de sa sécurité. Il faut dire que ce plan, répond en partie à certaines revendications historiques du peuple sahraoui: la mise en place de ses propres institutions politiques et la gestion de ses ressources naturelles. Le problème, est non le moindre, c'est que le Maroc manque cruellement de conviction pour la réalisation de son plan. Pourtant, devant la passivité du F. Polisario, plusieurs hauts dirigeants de ce mouvement ont rallié le Maroc, espérant sans doute participer à la mise en place de son "plan d'autonomie". Rien n'y fait! En fait, le Maroc joue la carte du fait accompli, la carte de l'usure, la carte de l'écoulement du temps. Ce qui laisse à croire, à plusieurs, qu'il n'est pas de bonne foi dans sa démarche autonomiste.
Nous sommes donc, encore une fois, devant deux belligérants, taris d'idées, d'imagination, incapables, d'un côté comme de l'autre, d'imposer unilatéralement une solution, entièrement cantonnés et figés dans leurs positions respectives, lesquelles ne laissent aucune place au compromis.
Pendant ce temps, le peuple sahraoui, de part et d'autre de la frontière, piégé par les acteurs du conflits, souffre et continue de souffrir dans sa chair et de son sang de ce conflit. Après 37 ans d'attente, d'exil, de misère, de domestication, il est temps que les pays de la région s'impliquent, et s'appliquent, dans la foulée de la nouvelle dynamique géopolitique, en obligeant les parties de trouver une solution à ce conflit et, ainsi, endiguer ce cancer dont souffre la région du Maghreb.
Passer outre, comme le demande le Président tunisien, Monsieur Mohamed Moncef Marzouki, n'est pas la bonne chose à faire, encore moins, le bon message à envoyer aux parties et leurs alliés.
Le peuple sahraoui, le peuple oublié, a droit à sa chance de vivre en paix. Sa chance de sortir de cette situation chaotique, d'éparpillement de familles, de dépendance de l'assistance internationale, d'incertitude, d'exil, de répression, de l'indifférence des autres et de l'attente d'une solution qui n'arrive pas.
Le Maghreb arabe ne peut, et ne doit, être construit aux détriments des droits du peuple sahraoui à l'autodétermination. Que la solution soit à l'avantage de la position du Maroc ou celle du F. Polisario, il est temps que cette solution soit trouvée afin d'abréger les souffrances des sahraouis, souffrances, rappelons-le, devenues insupportables pour la conscience humaine.
Me Takioullah Eidda, Avocat & Procureur, Québec, Canada.
quebec171[at]gmail.com
24.02.12
[ce texte a été publié auparavant dans des médias mauritaniens comme CRIDEM, EL AKHBAR, ANI]

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What role must the union of students play?

by Damin Haidar

In order for our union to be one of the most important uprights on which the hope of our people must be built , we must direct our efforts to strengthen it and make it the guide and redeemer and benefactor of our people .As we look back and see what role the scholar has played in society we find that students have historically shaped the form in which people must always be ,and they have always provided the other stages of society with ladders of prosperity while embracing the complexities of it and getting them disappeared . the holder of knowledge must be aware of the world in which he lives and he must collect all the outcomes of the facts that happened before while holding in his heart his love of country and the hope that he will be free some day and for SADR scholar ,our entire independence will soon be shaped .precisely, that is what Ralph Waldo Emerson wrote in his book ‘Selected Essays’ «the scholar is that man who must take up into himself all the ability of the time and all the contributions of the past and all the hopes of the future»
Our union must be strong enough to reflect the issue of our people with confidence in them and an abiding belief in the ultimate triumph of human liberty , for the only stake we have in hands today is young people and particularly students . In this century and in a world , in which independence can only be obtained and imposed by people themselves more than military forces , we need to build bridges with our students in our occupied territory and around the world , our students in our occupied territory must do their part through protests and struggles , on the streets and in the universities , even through a civil disobedience , and even if that entails risk and great sacrifice but the reality that none can deny is that freedom requires costs unimaginable to those who taste and enjoy it . And our people around the world should do so in order to make the world hear the reality in which our people live today (we are scattered and separated on earth ;the overwhelming majority has been suffering under the brutal regime of Moroccan authority for almost half a century and the others have lived in Tindouf ever since with the lake of basic services while the help they get from Algeria and many other humanitarian organizations) and that will occur merely if students get beyond some gaffes that still exists today without unmasking its culprits , divisions that have been passed on to some students by the earlier generation whose mistakes do stretch before us today, culture of special interests which has also been inherited from many of those who came before us , students union must manifest in our hearts before it becomes words we speak and it must be headed by persons having the capabilities needed to meet the demands of students and our people and who are able to lead on the path towards the independence , for if we want to make our students in our occupied territory do their duty ,we must do it first , we must show fairness in dealing with issues of our students here and broad and with our people for that is the only way to put transparence on the table and then all our students particularly those who are in territory occupied will share us the same vision that our entire independence depends on our work together and we will keep striving to get it and make our people more free and prosperous .I have just said that divisions must be eliminated within some segments of students because it does exist and to simply ignore it without understanding that it is a point of strength for our enemies only help them be always more able to defeat our desire . We know that it is possible for our students to be the beacon in our pursuit of independence because they can bring all the realities of history which could propel our nation to be sovereign between nations in the world ,we are not the first to be under occupation ,we are not the first whose women and men and children have been jailed , tortured and murdered , Algeria saw that before and suffered a lot but they ultimately freed their country with the sacrifice and devotion to country of its young men and women like Elaarbi ben Mhidi and his friends, even Europe knew the march of tyranny that left so many scars and ruins during world war II and it did not prosper until it did get free and the reality that we can get out of all what happened is that we must never surrender or retreat and that is what Winston Churchill affirmed on the day that Europe was freed «in the long years to come ,not only will the people of this island but of the world ,wherever the bird of freedom chirps in human hearts ,look back to what we have done and they will say ,do not despair ,do not yield ,march straight forward».
Thirty six years ago, on February, 27 a band of patriots and students headed by the martyr Alwali gathered and launched the birth of SADR and despite the several temptations of the enemies to defeat them ,they did it and kept going on . Alwali and his company could have walked away and said no way that it was impossible for them to beat the enemy while he had such a powerful means but they did not they sought out allies in their pursuit of freedom and independence and they found them because they were and are always ready to launch that beam of liberty wherever people begin to rise and shout and cry out for justice and because they were too aware of the reality of their time and the truth they held that our people will never prosper and enjoy freedom unless they govern themselves by themselves under the law they themselves constitute. So today there must be the same thing , students do whatever it takes to help their people free themselves from colonialism in 2012’s world.
The people are our major concern and our belief in the ultimate triumph of human liberty is our source of hope.
Damin Haidar
haidam08[at]yahoo.fr
24.02.12

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7.2.12

Sarko – ici (Sahara occidental ) ; Sarko –lá (Siria )

por O. Elbechir

Como Saharaui, y supongo como la inmensa mayoría de mis compatriotas, me asombró la determinación del gobierno francés en denunciar y correr el velo a las matanzas que está sometido el pueblo Sirio. Y no porque damos por leve o insignificante lo que está pasando a los civiles Sirios; sino al tardío y remiso despertar francés por el compromiso con los DD HH .
Obviamente las denuncias contra la vulneración de los DD HH en Siria, como en cualquier parte del mundo, son responsabilidad y deber de la comunidad internacional; pero lo extraño es la implicación del gobierno galo en esas reivindicaciones. Aunque ni es curioso, ni raro, puesto que la política exterior de Francia descansa sobre una larga tradición diplomática de confusión e incertidumbre y sobre algunos principios versátiles y cambiantes. Ya se conoce de memoria los rastros de esa política en Ruanda y Burundi, en Argelia, en Iraq, en Turquía y en Túnez, donde en este último país nos acordamos de ese resero de medición, cuando el gobierno de Sarko pretendía enviar un dispositivo policial a proteger al depuesto Ben Ali; y cuando este prendió la fuga, los mismos lo privaron de aterrizar en suelo galo.
No cabe duda que Sarko trata de confundir a la comunidad internacional exhibiendo un protagonismo pro derechos humanos teatral, hueco e intencional; mientras se hace olvidar, que él es quien vetó en octubre 2010 una resolución para supervisar los DD HH por la MINUROS en las zonas ocupadas del Sáhara occidental.
Nicolas Sarkozy , así como todos sus antecesores desde , d'Estaing , Mitterrand , Chirac , y con ellos las instituciones oficiales francesas son los corresponsables directos de la tragedia, el exilio, invasión y partición que vivieron y viven a día de hoy los Saharauis . Ya inclusive las ex repúblicas comunistas cambiaron de aires; sin embargo posiblemente Francia es el único país del mundo que aún vive vigentemente una guerra fría .
Y si ya está por conocida la política cambiante y variante de los gobiernos galos a lo largo de muchos años, su constante única es: LA ENEMISTAD HACIA LOS SAHARAUIS.
¿Pueda entonces Sarko explicarnos en que se desigualan los DD HH en Siria y en el Sahara Occidental? , O en cambio indicarnos que pecado han cometido los Saharauis para no recibir similar atención?
O. Elbechir
nahfei[at]yahoo.es
07.02.12

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